Les familles Gagné et Lamothe
Vous êtes actuellement anonyme Connexion
 

Notes


Résultats 1 à 300 de 4,175

      1 2 3 4 5 ... 14» Suivant»

 #   Notes   Lié à 
1
Écrit Jérome Bourassa sur sa fiche de baptême.

Décédé à 98 ans sur sa fiche de sépulture. 
Bourassa, Jérémie (I0086)
 
2
MAISON DE JEAN CAMPAGNA

Cette maison a été construite vers 1865 par Jean Campagna dans le 7e rang de St-Paul. On y retrouvait deux grands poêles à deux ponts, un dans la grand-maison, l'autre dans la cuisine. Il y avait des marches entre la cuisine et la grand-maison. La grand-maison se voit ajouter une nouvelle pièce en 1900: la cuisine à sa droite. Napoléon avait sa chambre juste au-dessus de la cuisine.

L'eau de la maison venait du ruisseau à Philéas grâce à des tuyaux de bois. La terre avait été achetée en 1851. Jean Campagna épouse Eléonore Boisjoli en 1853 à St-Norbert d'Arthabaska. Avant cette maison, en 1865, Jean avait construit une campe en bois rond vers 1852 sur le bord du ruisseau. Il y habitait avec son frère Jacques et les deux épouses Boisjoli. Plusieurs Campagna y sont nés: Delphis, Philéas, Napoléon, Nazaire...

Tous les 14 enfants de Trefflé Campagna et Éliza Dancause sont nés dans cette maison entre 1897 et 1917. On disait que presque chaque année, les sauvages laissaient un enfant sur le perron.

C’est dans cette maison que sont décédés Éléonore Boisjoli le 23 novembre 1897, Napoléon Campagna, le 12 juin 1919, Jean Campagna, le 8 janvier 1925, et plusieurs bébés décédés en bas âge.

Dans la maison à Jean, pas de radio, pas de télé, pas d'électricité, pas de téléphone. C'était la lampe à l'huile. Dix-sept personnes à la table, les tantes aidaient au travail et aux repas.

Jean Campagna y fut exposé en 1925 avant de partir pour le repos éternel à l’église et au cimetière de St-Paul de Chester.
 
Campagna, Jean (I2398)
 
3
HOMMAGE À HILAIRE

CAUSERIE

Samedi, le 17 septembre 2005
À l’occasion du rassemblement des familles
Gagné-Bellavance
Par Huguette Gagné
Introduction
Nous sommes très gâtés, n’est-ce pas? Comme ces musiciennes sont dynamiques et entraînantes!

J’ai le plaisir d’être la dernière à parler ce soir. Donc, je suis comme le dessert! N’ayez pas peur, je ne parlerai pas longtemps.

Membres de l’Association des familles Gagné-Bellavance,
Invités,
Chers frères, chères belles-sœurs, chers neveux, chers cousins,

Nous sommes rassemblés ici ce soir pour s’amuser et fêter notre grande famille Gagné-Bellavance. Pour les organisateurs et aussi pour plusieurs d’entre nous, nous sommes aussi ici pour honorer la mémoire d’Hilaire Gagné.

Hilaire a été un homme dont vous avez peut-être entendu parler, un ami, un cousin, un oncle un père ou même encore un grand-père. Quant à moi, Hilaire a été mon père!

Je suis heureuse d’être le porte-parole de la famille pour vous parler un peu d’Hilaire et aussi pour remercier l’Association de l’honneur qu’ils nous font en rendant hommage à notre père.
Je vais vous expliquer comment il se fait que je suis devenue le porte-parole de la famille. Parce que tous les membres de notre famille voulaient parler ce soir, on a dû tirer un nom au sort. Chacun a écrit son nom et l’a mis dans un chapeau. J’étais très contente d’avoir gagné, mais, chose étrange, tous les autres avaient aussi l’air content. J’ai jeté un coup d’œil sur les noms dans le chapeau et devinez quoi, tous les papiers avaient mon nom dessus!

Parenté d’Hilaire

Laissez-moi d’abord vous introduire Hilaire. Il est né à Princeville dans une famille de 8 enfants. Il est l’arrière-petit-fils d’Henri Gagné et de Marie-Monique Fortin qui ont été les premiers Gagné à s’établir dans les Bois-Francs. Il est le fils d’Israël, dénommé Timon, et de Justine Dancause.
Hilaire a toujours gardé contact avec sa parenté et ses amis d’enfance. Comme preuve a l’appui, sont ici présents, ce soir, deux neveux d’Hilaire et demain, presque tous ses neveux et nièces viendront pour le brunch.

À l’âge de 20 ans, Hilaire est déménagé à Arthabaska avec sa famille. C’est là qu’il a rencontré notre mère, Gilberte Boisjoli. Elle fut attirée tout de suite par ce beau grand jeune homme de plus de 6 pieds, mince, fort, les yeux bleus et avec une abondance de cheveux noirs, sans savoir évidemment que quelques années plus tard, il serait chauve!

En 1938, ils se sont mariés et ils sont venus habiter à St-Cyrille de Wendover où Hilaire était déjà établi. De leur mariage, 8 enfants ont survécu et vivent encore aujourd’hui : 7 garçons et une fille. La fille, c’est moi-même, Huguette, et les sept garçons sont : Denis, René, Gaston, Jean-Paul, Michel, Pierre, Benoit.

Mes frères ainsi que mon mari sont tous ici ce soir. Peut-être qu’ils voudront bien se lever quand je vais les nommer : en commençant par l’aîné, Denis et sa femme, Thérèse Boisvert; René, mais sa femme, Denise Gagnon, est absente aujourd’hui; mon mari, Bill Dolgos; Gaston et sa femme, Ruth Marcotte; Jean-Paul et sa conjointe, Marie-Ève Côté; Michel et sa femme, Diane Labonté; Pierre, mais son épouse, Denise Kouri, ne viendra que demain et enfin, le benjamin, Benoît et sa femme, Lucie Dupont.

Sont aussi avec nous ce soir quelques uns des 17 petits-enfants d’Hilaire. Si vous voulez bien vous lever aussi quand je vous nomme! Ma fille aînée, Miriam et deux fils de Denis, Philippe, notre maître ce cérémonie et son frère, Louis. Nous sommes très heureux que des représentants de cette génération soient venus honorer la mémoire de leur grand-père, Hilaire, même s’ils étaient très jeunes lors de son décès! Quant aux arrière-petits-enfants, quelques-uns viendront demain, prendre le brunch avec nous. Hilaire en a déjà 17 et ce n’est pas fini! Quand on se retrouve tous ensemble, enfants et conjoints, petits-enfants et conjoints et arrière-petits-enfants, nous sommes 65!

Je vous ai donc fait un peu connaître Hilaire par sa parenté, par sa famille proche et par ses descendants. Je voudrais prendre quelques minutes pour rappeler des faits marquants de sa vie et certains traits de sa personnalité.


Jeunesse d’Hilaire

Élevé sur une ferme dans le 11e rang de Princeville, il alla à l’école du rang. Selon certains documents écrits et selon des témoignages, le père d’Hilaire, Israël, était cultivateur, meunier, menuisier et pendant un certain temps, propriétaire d’un moulin à bardeaux. Ses trois fils pratiqueront l’un de ces métiers à l’âge adulte : Alfred deviendra meunier, Josaphat sera menuisier et Hilaire, pendant quelques années aura un moulin à bardeaux. En 1929, quand Israël vend son moulin et sa terre, la famille déménage à Arthabaska. Hilaire avait 22 ans.

Pendant les années de dépression, il endura le chômage et s’occupa de maintes façons : gardien de nuit, journalier sur le fermes environnantes, vendeur de morceaux de machinerie et… apprenti-mécanicien. Avec son travail presque bénévole au garage, il apprit le métier de mécanicien, ce qui lui servira le reste de sa vie! Vers 1936-37, il acheta un moulin à bardeaux à St-Cyrille. Il l’exploitera pendant 6-7 ans.


Déménagement de maisons

Après son mariage, il déménage une maison pour sa famille sur le terrain du moulin à bardeaux et ce fut une révélation pour lui! Il pouvait déménager des maisons!
Quelques années plus tard, le déménagement de maisons devenait son gagne-pain. Il déménagea des petites maisons, des grosses maisons, des chalets, des granges, des écoles, des églises, des ponts…. Il prenait des contrats de Québec à Montréal, du fleuve jusqu’aux lignes des États-Unis et même à l’occasion il s’est rendu plus loin comme l’autre coté du fleuve ou à St-Anne-de-la-Pocatière. Pendant plus de 30 ans, il exerça ce métier.

Autres occupations

Plus ou moins reliées au déménagement sont venues d’autres occupations. Hilaire acheta un garage de réparations générales à St-Cyrille et une station de service Esso. En hiver, il adapta ses véhicules au déneigement des chemins et pendant 10-15 ans il a pris des contrats de déneigement pour la municipalité.

Hilaire a été un employeur à St-Cyrille pendant 40 ans Certaines années, il employait environ 15 personnes à la fois: employés pour le déménagement, mécaniciens, secrétaire, comptable…Il semble que la moitié de la population de St-Cyrille ait travaillé pour lui a un moment donné ou à un autre.
Même les vicaires de la paroisse, qui devenaient souvent ses bons amis, travaillaient pour lui. C’est pourquoi d’ailleurs il devait aller dans le troisième village pour se confesser.

Il a aussi été chef des pompiers bénévoles dans la paroisse pendant plus de 10 ans. Pendant quelques années aussi, il a servi la communauté comme commissaire d’école.

Gilberte

Certaines années, il semblait qu’Hilaire travaillait jour et nuit. Mais jamais on ne l’entendait se plaindre! Il avait la chance d’avoir Gilberte à la maison qui le soutenait, qui croyait en lui et qui donnait tout son temps, ses talents et son énergie à l’éducation de leurs enfants et au bon fonctionnement de la maisonnée! Souvent Maman disait que si Papa avait eu une plus grande éducation, il serait devenu le Premier Ministre du Canada.

Le caractère d’Hilaire

Hilaire avait une forte personnalité. Il n’avait pas peur de défendre ses opinions et il aimait les défis! Il aimait faire l’avocat du diable et amener les gens à discuter avec lui; son sujet préféré était probablement la politique à tous ses niveaux.
Il était aussi très humain dans toutes ses relations avec sa famille, ses employés, ses clients. Ceux-ci se trouvaient souvent dans des situations intenables, par exemple une maison avait été expropriée et le propriétaire devait ou démolir sa maison, ou la faire déménager. La Voirie change l’élévation d’un chemin ou son tracé : certaines propriétés sur cette route perdent tout attrait. Le déménageur peut alors relever leur maison, ou l’avancer ou la reculer. Hilaire comprenait leurs problèmes et il était heureux de les aider. Il devenait leur sauveur!

Partout où il travaillait, le déménagement d’une maison attirait l’attention des voisins et des passants, surtout au moment où la maison était transportée, Hilaire était alors le showman et il aimait beaucoup cet aspect du déménagement. Souvent aussi un journaliste venait photographier la maison déménagée et à l’occasion il interviewait le déménageur. Le lendemain on voyait les photos dans le journal local.

On ne pourrait parler d’Hilaire sans souligner qu’il était catholique et pratiquant.

Il ne manquait jamais la messe du dimanche. Il faisait ses prières matin et soir.

Il était généreux et il n’aimait pas qu’on parle en mal de son prochain

Sa marque

Hilaire, avec sa stature, sa voix forte et son regard pénétrant ne passait
jamais inaperçu. Il a laissé sa trace partout où il a travaillé car, avec ses travaux de déménagement, il a changé beaucoup de sites dans la province de Québec.

Il a aussi laissé sa trace dans ses enfants et petits-enfants. Hilaire et Gilberte croyait fortement dans l’éducation : aussi, leurs 8 enfants ont poursuivi des études post-secondaires. Hilaire se plaisait à répéter à ses enfants que leur éducation serait leur héritage
Gilberte, notre mère est décédée en 1971, quelques jours avant ses 60 ans. Hilaire s’est remarié trois ans plus tard avec Marie-Jeanne Fréchette.


La relève

Peu après son mariage, Hilaire cède sa Compagnie de déménagement à son fils, Jean-Paul qui en est, encore aujourd’hui, le président. Si vous avez une maison à faire déménager, contactez notre cher frère Jean-Paul : il a encore le même numéro de téléphone que Papa avait! Hilaire a continué à travailler aux cotés de Jean-Paul jusqu'à sa mort.

La mort d’Hilaire

Il est décédé d’une crise cardiaque le 5 février 1979, à l’âge de 71 ans et 4 mois.
Lui et Gilberte sont enterrés au cimetière d’Arthabaska dans le lot des Gagné avec ses parents, Israël et Justine.

Hilaire et Gilberte vivront toujours dans la pensée et le cœur de leurs enfants et aussi dans le cœur de toutes les autres personnes qui les ont connus et aimés.



Conclusion

Hilaire Gagné a été un grand homme, non seulement par sa stature mais aussi par ses talents, son imagination, ses principes, ses convictions et sa générosité. On n’oubliera jamais son regard expressif, sa tête chauve, son grand sourire et sa démarche distinctive.

Hilaire Gagné était entreprenant, patenteux, ingénieux et tout au cours de sa vie, il a fait honneur à la grande famille des Gagné dit Bellavance!

Un grand merci encore a l’association des familles Gagné-Bellavance pour nous avoir permis de rendre hommage à notre père qui était lui-même fier de sa lignée et qui nous a enseignés à l’être aussi.

Merci à vous tous pour votre attention et Bonne fin de soirée!

F i n
 
Gagné, Hilaire (I0008)
 
4
Numéros de téléphone:

Début : 30-R-21 ("Ligne 30, 2 sonné 1")

En 1975 : 21-S-2

En 1975, son frère Philippe partage la même ligne mais a le 21-S-11 ("Ligne 21, 1 sonné 1")

Après 1975 (tornade): 819-396-2032

Références: annuaires de Bell Canada

Explication:

XX-S-YZ
Le premier chiffre (X) représente le numéro de ligne
Le deuxième chiffre (Y) représente le nombre de grands coups
Le troisième chiffre (Z) représente le nombre de petits coups 
Labonté, Paul-Émile (I0010)
 
5
Semble être en vie au mariage de se son fils Simon, le 27 février 1854 et au mariage de sa fille Thérèse le 19 septembre 1854 avec francois cantara a St-pierre, Sorel. 
Héroux, Hélène (I2713)
 
6
Sœur Saint-Bonaventure (Léda Labonté, 1877-1971)

« Le Seigneur vous donnera de longs jours sur la terre.» C’est la bénédiction dont fut gratifiée notre chère Sœur Saint-Bonaventure qui s’éteignit lentement au matin du 3 février 1971. La veille, fête de la Purification de Marie, M. l’Aumônier Ch.-Édouard Doucet lui avait donné l’Onction des malades. Chargée des mérites que peut accumuler une vie de 93 ans dont 72 au service exclusif du Seigneur, la nonagénaire entrait en possession de Celui pour qui elle avait vécu.

Léda Labonté est née à Saint-Bonaventure (Yamaska) le 20 décembre 1877 de Oliva Labonté, cultivateur, et de Georgine Poirier. Baptisée le même jour en l’église paroissiale, elle fit sa première Communion à neuf ans. M. le Curé Edmond Grenier lui prédit alors qu’elle serait religieuse un jour. La troisième d’une famille de quatorze enfants dont huit garçons, elle se demandait un peu comme la Vierge : Comment cela se fera-t-il? Le grand-père Labonté ainsi qu’on oncle et une tante célibataires donnaient un bon coup de main à la besogne. Ces aides précieuses lui valurent d’aller au pensionnat de Saint-Guillaume à l’âge treize ans. Elle en sortit munie d’un brevet Modèle du Bureau Central. Elle enseigna deux ans et demi puis, sur le conseil de son oncle maternel, l’abbé Sévérin Poirier, elle prit le reste de l’année pour se préparer à entrer au Postulat des SS. de l’Assomption de la S.V., Nicolet, le 25 août 1898.

Sœur Saint-André initia l’aspirante aux pratiques de la vie religieuse. A sa grande joie, Sœur Léda reçut le nom de Sœur Saint-Bonaventure au jour de sa Vêture, le 10 août 1899. Cette appellation évoqua toujours chez elle un passé bien cher à son cœur. Sa mémoire heureuse avait enregistré l’histoire de la fondation de sa paroisse : pas de chemin de voiture, 27 milles à pied pour aller moudre un sac de blé à Yamaska… Son père avait dû “marcher au cathéchisme” en parcourant 7 milles, matin et soir, pour se rendre à Saint-Guillaume. C’était le temps héroïque. Aussi lorsque l’église fut bâtie en 1856, qu’il y eût de la visite ou non, note Sœur Saint-Bonaventure, c’était un devoir strict d’assister à tous les Offices. Cette formation à remplir les moindres observances se retrouve dans la fervente novice qui, après avoir enseigné durant quatre mois à l’Externat de l’Avenir, revient au Noviciat et se prépare minutieusement à l’émission de ses vœux temporaires qui a lieu le 21 août 1900.

« J’ai toujours eu un caractère prompt et sérieux », écrit-elle. Aidée de la grâce, elle utilise les dons reçus et remplit de son mieux les emplois confiés à ses soins. Très pieuse, modèle de régularité, d’ordre et de propreté, voilà ce qu’elle exige des élèves. Son expérience lui a appris qu’il faut de la patience et de la persévérance pour « frôler » la perfection. Comme elle aime beaucoup les enfants et qu’elle veut leur bien, ses généreux efforts connaissent le succès. Ses cinq premières années se passent à Saint-Barnabé Nord. Elles comptent parmi les plus belles de sa carrière d’éducatrice « parce que, dit-elle, elle furent couronnées de la permission de prononcer mes vœux perpétuels, le 15 août 1906, faveur signée de la main même de vénérée Mère Saint-Joseph.

Sœur Saint-Bonaventure donnera le meilleur d’elle-même au Québec sauf cinq ans aux États-Unis (Southbridge, Greenville et Lowell). Ses 27 années consacrées à l’enseignement sont entrecoupées de deux périodes de repos et de cinq années de service comme infirmière à l’École normale de Nicolet. Habile cordon bleu, elle remplit cet emploi durant neuf ans. Enfin, comme elle manie aussi bien l’aiguille que les chaudrons, elle est une aide précieuse dans plusieurs maisons surtout à Nicolet comme couturière. Gentilly sera la dernière étape de sa vie de missionnaire. Ce milieu de retraitées répond à son besoin de prière et de quiétude. Elle y séjourne de 1945 à 1948 puis revient définitivement à l’Hôpital du Sacré-Cœur.

Ce n’est plus le plein midi des jours, c’est l’annonce d’un beau soir où le soleil brille de mille feux. Sœur Saint-Bonaventure multiplie les actions de grâces au Dieu qui l’appelle à renouveler ses vœux après 50 ans de profession religieuse. Sur terre et dans le ciel, c’est grande fête particulièrement pour ses deux sœurs et ses deux nièces chez les Sœurs Grises de Nicolet, ses deux neveux, Frères des Écoles chrétiennes, ses quatre nièces dont deux chez les Sœurs Grises de Saint-Hyacinthe, une chez les SS. de C.N.D. et Sœur Cécile-du-Crucifix (Cécile Labonté), religieuse dans notre Congrégation. Le 15 août 1950 réunit donc la parenté qui participe à la fête et en prolonge les joies en recevant la jubilaire sous leur toit.

Comme la septuagénaire désire s’occuper encore utilement, on lui prête une couseuse et, bien tranquille dans sa chambre du 4e del’Hôpital du Sacré-Cœur, elle confectionne des poupées et des bibelots au profit de l’Oeuvre missionnaire. Son esprit d’invention et de méthode, son soin des menus détails rappellent les qualités de l’éducatrice ou de la cuisinière qui aimait l’excellence et la gratuité. Petit à petit, la faiblesse et le manque d’entrain aux travaux de son choix lui rappellent qu’elle a 82 ans. La longévité n’est-elle pas une caractéristique de sa famille? Elle bénit Dieu pour les ans et pour les grâces qu’Il lui donne. Le 15 août 1960, le diamant enrichit sa couronne d’or. De nouveau sa double famille l’entoure d’affection et de bons souhaits. Le Seigneur se réserve de préparer les rubis aux nuances variées… Une fracture de l’os du fémur la rend impotente pour quelque temps mais elle réussit dans la suite à de déplacer à l’aide d’une canne. Toujours lucide, elle se remémore avec émotion les grandes miséricordes du Seigneur pour ses 65 ans de consécration religieuse. Elle les lui dit et redit avec ses consoeurs le 15 août 1965.

Que sont les six dernières années de la vénérée octogénaire? Docile aux moindres désirs des infirmières, elle s’intéresse toujours à tous les siens et à son entourage. Ses dévotions d’adolescente : la Sainte Vierge, la Passion de Notre-Seigneur évoque le passé : le temps où il fallait ménager, les grosses besognes et les sautes d’humeur qu’engendrait la fatigue, les jeunes sœurs qu’il fallait initier au travail bien fait… mais aussi les joies du don de soi, et surtout la vie paremment. Le jubilé de gloire, 70 ans, fait briller devant elle les rayons du Soleil de justice qui éclaire sans éblouir, consume sans détruire, fait vivre éternellement. « Pour quand sera-ce, Seigneur? » Comment cela se fera-t-il? Une paralysie partielle a obligé la patiente à s’aliter. Elle recouvre suffisamment la parole pour encore remercier ses aides, ses visiteurs et répondre à l’ultime Appel :

« Viens habiter dans Ma maison
Chanter la gloire de la Trinité. »

Gertrude Deshaies, S.A.S.V.

[source: archives des Soeurs de l’Assomption de la Ste-Vierge]
 
Labonté, Léda (I1110)
 
7
Les Baribeau à Hoey, Saskatchewan 1915-1938

Hoey, Saskatchewan 1915-1938
par Jean-Amédée Motut

Si je prends le temps de glaner les souvenirs de mon père, c'est un peu pour aider les Fransaskois qui, comme Laurier Gareau, s'intéressent à conserver quelques pages de notre passé.

Le nom de ce petit village si actif autrefois, n'a plus rien du village qu'il fut à une certaine époque. J'y suis retourné à quelques reprises, sans doute par nostalgie, et je n'y ai retrouvé que quelques vestiges d'antan... comme la maison qui fut la nôtre pendant plus de vingt ans. Le coeur même de ce petit village a cessé de battre vers la fin de la Seconde Guerre mondiale alors que beaucoup des habitants du début avaient quitté l'endroit surtout à cause de la grande Dépression des années 30.

Les deux grands magasins au centre du village, les deux grands garages, le restaurant chinois, la forge, la grande écurie, la cour-à-bois, l'école, la salle qui servait de chapelle, la gare, la banque, les silos (élévateurs), la boucherie, la centrale du téléphone, plusieurs petites maisons de particuliers... tout cela s'est envolé avec le temps, ainsi que les personnes qui les habitaient.

Il reste néanmoins quelques souvenirs de ce passé qui remonte aux années 20 et 30. La maison qui fut la nôtre construite en 1918 tient encore debout. Celles du docteur Moreau, de Roch Lefebvre, de W.A. Boucher, de Lucien Mareschal ainsi que le second hôtel du village diminué de moitié... sont toujours là. Bien entendu d'autres maisons sont venues s'ajouter plus tard et le village existe toujours, Dieu merci, mais combien parmi ses habitants se souviennent encore de son histoire et de ceux qui ont rendu leur village prospère à une certaine époque?

Il y a peut-être encore parmi les nouveaux habitants de Hoey des personnes intéressées à en connaître son histoire. Quand et pourquoi a-t-il été établi? Pourquoi le nom de Hoey? Qui habitait le village au début? Que faisaient ces gens?

La meilleure façon de rappeler ces souvenirs, c'est de laisser parler le journal de mon père qui pendant 23 ans a vu évoluer le village et ses alentours, à partir du tout début.

Roger Motut
Extrait des mémoires de Jean-Amédée Motut

En 1915, Hoey était situé sur la ligne du «Grand Trunk Railway» (le Grand Tronc). D'après le tracé de la ligne de ce chemin de fer, le village n'aurait jamais dû exister. Domrémy devait être à deux milles plus au nord que son site actuel, à la jonction des routes de la ferme d'Albert Kush. Le sénateur Davis de Prince Albert avait obtenu la concession des «townsites» le long de la voie ferrée et ne pouvant s'entendre avec un nommé Duval et sans doute avec Kush et Marsolliers pour le prix du terrain, il acheta le site actuel du village de Domrémy à deux milles plus au sud.

Comme, à ce moment-là, Davis ne pouvait rien faire de Saint-Louis situé à l'ouest du village actuel, à environ un mille et demi, il obtint le site de la gare de Hoey en achetant le carreau de terre de Willie Garson pour y installer le futur village. Plus tard, j'ai acheté du sénateur les 18 acres de terrain qui restaient de ce carreau, du côté est des élévateurs. Il faut dire qu'avant la construction de ce village et avant qu'il ait un nom, les gens de l'endroit disaient: sur la 12 pour Hoey et sur la 17 pour Domrémy (Sections 12 et 17).

Le premier nom mentionné pour l'endroit fut Garson, mais Garson existait déjà quelque part en Saskatchewan et le nom fut rejeté. Le nom de Miteau avait été suggéré, mais comme Miteau était libéral et la Compagnie, conservatrice, ce nom subit le même sort. Le village enfin, fut nommé Hoey d'après deux des pionniers de l'endroit: West et Gibson Hoey. Le sénateur Davis accepta ce nom.

Il fit donc construire à ses frais l'hôtel qui prit feu en 1923 et qui fut complètement détruit, un magasin général juste à côté de cet hôtel pris en main par Kendy et Goal, deux Hongrois, tandis que l'hôtel était dirigé par W.W. Rutan. Le sénateur ajouta un magasin de fer (quincaillerie) en face de l'hôtel plus une bâtisse occupée par un nommé Sinclair, charpentier. Plus tard, cette bâtisse allait devenir le magasin de Jos Neault. Elle se trouvait de l'autre côté de la rue et en biais du premier magasin général le «Royal Mercantile.» Enfin, le Sénateur avait aussi fait construire d'autres bâtiments, dont la forge et quelques petites maisons pour loger les ouvriers. Ces maisons passèrent au feu plus tard.

Lorsque le 15 août 1915 j'arrivai à Hoey, trois des ouvriers étaient encore là: Paterson, Hutchison et Sinclair. Ils quittèrent définitivement l'endroit en 1916. Roland Frigon, un pionnier, avait fait construire une grande écurie à côté de la forge et logeait dans un petit chantier tout près. La forge, construite par Davis, était occupée à mon arrivée par un nommé Cook, Métis de langue anglaise, qui n'avait de forgeron que le nom. Voilà pourquoi Davis vint me chercher à Wakaw, où je travaillais pour Bruno Baribeau, pour remplacer Cook. Ce Cook avait une maison au coin sud-ouest du village qui fut déménagée plus tard en face de la maison qui devint celle des instituteurs et qui appartenait à un nommé J.B. Frame. La cour-à-bois, aussi la propriété de Davis, fut achetée par un nommé McDermit de Prince Albert et gérée par un nommé Lacroix. En 1917, la gérance passa à W.A. (Boss) Boucher. Le bureau de poste était dans le magasin de Kendy et Goal.

En 1915, Achille Roberge acheta la maison où logeait Sinclair et en fit un magasin général. Ce Roberge était l'oncle des Roberge de Hoey qui habitaient le «homestead» d'Ovila Baribeau à l'est du village. Il vendit ce magasin à Jos Neault.

Après avoir vendu le magasin, Roberge construisit un garage qui plus tard fut transformé en restaurant chinois. À ce moment-là, Roberge était associé à Pierre Legault et les deux propriétaires disposèrent du garage en le vendant à un nommé Teel, qui lui, le vendit aux Chinois. Ces Chinois ont fait partie de Hoey pendant plusieurs années. Ils s'appelaient Sam Wong et son fils Frank. Il y avait aussi un oncle nommé Tom ainsi qu'un quatrième que les gens du village appelaient McKintosh, faute de connaître son vrai nom.

Après la destruction du premier hôtel en 1923, Achille Roberge construisit l'hôtel actuel en y ajoutant une salle de danse et un jeu de quilles. Albert Labonté, barbier, avait occupé une partie du premier hôtel géré par W.W. Rutan. Après le feu, sur l'emplacement de l'hôtel, il se fit construire une grande salle de billards ainsi que ses appartements au bout nord de cette bâtisse. Albert Labonté avait épousé une demoiselle Houle de Bellevue. Pendant un certain temps, après le départ de W. Rutan, Alphonse Georget eut soin de l'hôtel ainsi que de la quincaillerie. Celle-ci fut achetée par Gédéon Poulin avec l'aide financière de Roch Lefebvre et de Louis Savidan. Poulin ne resta que quelques années à Hoey et Louis Savidan, sans doute grâce à des arrangements avec Roch Lefebvre, en devint le propriétaire. Il vendit le magasin de fer à un nommé A. Trottier quelques années plus tard.

Le magasin de Davis, géré par Kendy et Goal, passa aux mains d'un nommé George Russel de Prince Albert et Léon Baudais devint le gérant. Baudais et sa famille habitaient en haut du magasin où il y avait deux logements. Plus tard, le contenu du magasin fut vendu au docteur Moreau et à W.A. Boucher. Au départ de Léon Baudais, Ovila Baribeau en devint le gérant. Lui aussi habita le logement libéré par Baudais en haut du magasin. Au début, W.A. Boucher habita l'autre logement puis, après la construction de sa maison, il y fut remplacé par Henri Begrand et sa jeune épouse.

En 1918, je fis construire une maison à côté du Royal Mercantile et le bureau de poste y fut transféré. Je m'en occupai pendant plus de 16 ans. Vers 1917, un nommé Lavertu, boucher, se fit construire une maison en briques, à côté de la mienne du côté est. Cette maison fut occupée plus tard par Auguste Joubert, boucher, ainsi que par A. Paradis et un M. Briscoe, bouchers également.

Vers 1916, la municipalité de Saint-Louis fit ériger le bâtiment qui était toujours là à mon départ de Hoey en 1938. M. Louis Schmidt de Saint-Louis, ancien secrétaire de Louis Riel au Manitoba, fut le premier secrétaire de la municipalité. Avant cela, le Conseil municipal se réunissait chez Willie Garson un peu au sud du village actuel. Roland Frigon, qui venait de se marier, se fit construire une jolie maison occupée à notre départ par le docteur Moreau et sa famille. Avant d'habiter cette maison et à partir de 1918, le docteur et sa jeune famille habitaient le premier hôtel où il avait ses appartements. Vers la même époque et avant le feu, Hoey avait eu une gare pour remplacer le wagon de chemin de fer qui était là à mon arrivée. Un M. Lavergne en fut le premier chef de gare jusqu'à son départ du village et il y fut remplacé par Archie Dubord. Ce M. Lavergne remplaça W.A. Boucher comme maire de la municipalité lors d'une absence de W.A. Boucher, causée par la maladie.

Plus à l'ouest de la maison du docteur Moreau, et de l'autre côté de la rue, un nommé Laplante, foreur de puits, construisit une maison qui, quelques années plus tard, allait devenir la Banque canadienne nationale, en remplacement de la Banque d'Hochelaga dont les bureaux se trouvaient également dans le premier hôtel. La maison de Laplante avait été construite sur un chantier qu'habitait Alexis Dumont, le neveu de Gabriel Dumont le fameux capitaine de Louis Riel. Un charpentier du nom de Lockhart habitait une petite maison à l'ouest de la Banque... cette maison passa au feu. Il en construisit une autre sur le même emplacement et celle-ci aussi passa au feu. Il y avait du même côté de la rue, une maison appartenant à Willie Garson, l'ancienne maison de Cook. Cette maison fut occupée pendant quelque temps par la veuve de Maxime Lépine dont le gendre, Pilon, s'était fait construire lui aussi en face de la grande Salle près de la terre de Léon Ménage. Fritz Engels, beau-frère de Henri Begrand, habita l'ancienne maison de Cook. La dernière maison du même côté de la rue construite par Hutchison fut habitée à tour de rôle par Charles Beauchemin, Ovila Baribeau, Louis Boileau et par le père de Henri Begrand. D'autres personnes y habitèrent dont madame Dupeu ainsi que Théo Lavigne et Belair, célibataires.

Au sud de la rue principale, du côté où habitait le docteur Moreau, il y avait deux lots vides. Plus à l'ouest de ces lots, Roch Lefebvre s'était fait construire une grande maison et une étable. Après les décès de Roch et de son épouse, leurs filles Cécile et Marie y habitèrent ainsi que leur fils, Charles, étudiant en médecine. Plus tard, Charles épousa Frances Moreau, la fille du docteur Moreau. Pendant la crise, le jeune couple habita Domrémy pendant quelque temps, où Charles pratiqua la médecine. La maison des Lefebvre fut habitée plus tard par Louis Boileau, secrétaire de la Municipalité et ensuite secrétaire du Saskatchewan Wheat Pool. Quelques années après notre départ, la maison devint la propriété de madame Macleod de Saint-Louis et de son gendre, Arsène Benoit, acheteur de grain.

Plus à l'ouest, la maison des instituteurs fut construite vers 1921 ou 1922 par J.B. Frame. (Messieurs Louis Charbonneau, Rosaire Gagné, Antonio de Margerie, Germain Roy ainsi que mesdemoiselles Bibianne Richard, Blanche Schiller, Ninette de Margerie, etc... y habitèrent pendant leurs années d'enseignement à Hoey.) La maison à côté, sur le lot à l'ouest, fut la nôtre pendant trois ans. C'est là que Roger est né. Elle fut occupée ensuite par Lucien Mareschal qui construisit sa grande maison sur le terrain côté ouest. Lorsque Mareschal quitta Hoey où il avait été secrétaire de la municipalité pendant quelques années, sa maison fut occupée par Michel Hallé, gérant de la banque et ensuite, achetée par Henri Begrand.

Sur la rue au nord de la rue principale se trouvaient la forge et la grande écurie. W.A. Boucher s'y fit construire une belle maison en 1922. À ce moment-là, c'était la maison la plus à l'ouest de la rue. Vers 1924, Alfred Belhumeur, acheteur de grain pour le quatrième élévateur du village, fit construire sa petite maison sur la même rue à côté de celle de Louis Savidan, au nord de la cour-à-bois. Après son mariage à Gilberte, Théo Lavigne construisit sa maison sur le coin de cette rue et de la rue transversale où Joseph Bedon, agent de machines agricoles, avait fait monter un grand hangar et un petit chalet qui lui servait de bureau, en face de la cour-à-bois, côté est.

Au sud-est, le long de la route qui menait vers chez Léon Ménage, route qui plus tard devint la grand'route numéro 2, Raphaël Neefs fit transporter une écurie de derrière l'hôtel et se servant de cette charpente en ogive, transforma le tout en une jolie maison. Cette maison fut occupée par Ovila Baribeau lorsqu'il arriva comme acheteur de grain pour le nouvel élévateur de Hoey, numéro 2, en provenance de Domrémy où il avait acquis son expérience. Il fut remplacé comme acheteur de grain par T. Caldwell et plus tard par Arsène Benoit.

Vers la même époque, la «Saskatchewan Farmers' Cooperative Association» érigea l'élévateur qui deviendrait le «Saskatchewan Wheat Pool.» Comme gérants de langue française, il y eut un nommé St-Denis et un nommé Perret de Duck Lake, tous les deux parents de W.A. Boucher. Le dernier élévateur construit à Hoey n'eut qu'un seul gérant pendant toutes nos années à Hoey: Alfred Belhumeur.

En 1921, Henri Begrand se fit construire un grand garage en face du magasin géré par Kendy et Goal dans ce temps-là. Il devint l'agent du McCormick Deering et de la compagnie d'huile, British American. Il faudrait aussi mentionner que Jos Neault habitait le logement en haut de son magasin... et lorsque Cloutier acheta le magasin, il y habita lui aussi avec sa famille.

D'autres bâtiments furent ajoutés plus tard, entre autres, la grande salle qui servait de centre culturel et de chapelle le dimanche. Elle avait été construite par les gens de Hoey pour desservir une soixantaine de familles éloignées dans ce temps-là, de leur paroisse de Saint-Louis. Chacun avait acheté des parts et la salle fut démolie sans consulter ses propriétaires! La plupart d'entre eux avaient quitté Hoey (ou ce monde) depuis longtemps.

La première école fut construite en 1921 tout à fait à l'ouest de la rue principale. Deux ans plus tard, il fallut y ajouter un second étage pour loger le nombre toujours grandissant d'enfants. En attendant d'avoir une école, les classes se donnaient dans l'ancien hôtel, dans ce qui devait être le bar de cet hôtel. C'est là que Gilberte a commencé ses classes.

Avec l'arrivée du téléphone, la centrale du téléphone était logée dans une petite maison entre le magasin de fer et la maison du docteur Moreau. Deux soeurs Boucher s'en occupaient. Elles furent remplacées par madame Noé Bernier pendant quelque temps. Entre la maison du docteur Moreau et celle de Roch Lefebvre, un M. King, acheteur de grain, se fit construire une maison. Alphonse Georget avait lui aussi une maison à deux lots du nouvel hôtel, côté est. Derrière chez lui et près de la maison de Raphaël Neefs, M. Miteau construisit une petite résidence.
Les terres et leurs occupants vers 1915 et après

Au nord du village et un peu à l'ouest, il y avait la demi-section de West Hoey. Plus au nord, Musher habitait sur une terre occupée plus tard par les Belhumeur et qui appartenait au Sénateur Davis de Prince Albert. Au nord et à l'est de Musher, vivaient les Klyne. Toujours plus à l'est, c'était les Boyer dont le fils Pierre habitait la terre au moment de notre départ. (Plus tard, il est venu habiter au village dans l'ancienne maison de W.A. Boucher.) À l'est du village et en face, il y avait la terre d'un nommé Arcand qui la vendit à Michel Garneau, oncle de madame Thomas Lefaivre. Il la vendit à Adélard Houle.

Sur la route de l'est et au nord, George Yund avait une terre qu'il vendit à Alfred Doucette de Prud'homme. Plus tard, cette terre devint la propriété de Samuel Chicoine. Plus loin vers l'est, à la croisée des chemins qui montent vers l'école Glendale, Raphaël Neefs était propriétaire d'une terre qu'il échangea avec Achille Roberge pour le nouvel hôtel de Hoey. Achille Roberge vendit cette terre à un nommé Lafrenière, beau-frère des Trottier. Plus tard, cette terre passa aux mains des Geddes. Plus à l'est encore à quatre milles de Hoey, était situé le «homestead» d'Ovila Baribeau qui le loua aux Roberge, les neveux d'Achille. Au nord de Baribeau vivait Jules Saint-Arnaud, son beau-frère, qui était encore là en 1961.

En revenant sur le chemin de l'école Glendale, au nord de la terre de Neefs, il y avait celle de John Young qui vendit cette terre à Lavergne, le chef de gare de Hoey. À son départ de Hoey, cette terre fut achetée par Jules Saint-Arnaud. Tout près de l'école Glendale habitaient les Viala. Édouard vendit sa terre à Albert Joubert vers 1940.

Vers l'ouest maintenant. En suivant la ligne au nord de chez West Hoey, une terre inoccupée appartenait à un nommé Godard de Saint-Louis, le plus ancien pionnier venu de France dans la région. Godard vendit sa terre au père Boscher. Plus à l'ouest, il y avait le «homestead» des Pellessier, qui appartenait à son oncle, le Père Gabillon, o.m.i. Cette terre passa au père Boscher. (J'emploie le mot «père» pour indiquer le plus ancien de la famille). Plus à l'ouest, au sud du chemin, il y avait la terre de Fernand Begrand qui l'avait toujours lors de notre départ. Toujours plus à l'ouest et sur le même chemin au sud, c'était la terre du père Begrand, une demi-section. Ce chemin faisait la division des terres de rivière, toutes en longueur. Quand le père Begrand est décédé, ces terres passèrent à sa fille Jeanne. Plus loin habitaient les Magnin: le fils Émile occupait toujours la terre en 1938.

Directement à l'ouest du village, les terres étaient presque toutes en friche. Il fallait faire quatre milles pour arriver chez J.B. Frame. Frame fut remplacé par Ben Veale et lui, vendit sa terre à John Braid. Plus tard, John Braid vendit sa terre à Savidan et vint finir ses jours à Mission en Colombie-Britannique avec son épouse.

Un peu au sud-ouest, à deux milles de Hoey, habitait Gibson Hoey, l'un des vieux pionniers. Pendant les années 30, il vendit sa terre à un Détilleux de Vonda. Au sud de Gibson Hoey, il y avait les Williams, arrivés en 1915. (Notre demi-section longeait ces deux terres à l'ouest). Sur la route de Bellevue, à l'ouest des Williams habitait le vieux Pettit. Son fils Walter hérita de la terre. Eux aussi sont arrivés en 1915. À l'ouest des Pettit se trouvait l'école Argonne... et plus loin, Joseph Jobin... et plus loin encore, le vieux Morrison. Au sud de l'école Argonne, à un mille, c'était la terre de Sammy MacDougal, Métis d'origine écossaise qui parlait toujours le français et qui était venu du Manitoba. Lorsque Sam décéda, sa terre passa à son gendre, un nommé Potter, puis elle passa à A. Grimard. A l'est de cette terre se trouvait la terre des Guigon.

Reste le sud de Hoey. Au sud-ouest de la section 12 habitait le père Willie Garson, vieil Écossais qui avait épousé une Indienne, soi-disant fille de Chef. Garson aurait été commis pour la Baie d'Hudson dans un poste de traite du Nord. Sur la même ligne, mais plus au sud, il y avait Xavier Baribeau, père d'Ovila, Bruno, Charles, Alcide, Mme Saint-Arnaud, etc... Ils étaient tous cousins des Baribeau de Domrémy et les frères étaient venus dans l'ouest de la région de Batiscan. Le père Baribeau est décédé à l'âge de 91 ou 92 ans vers 1945. À un mille au sud, nous trouvons Constant Trumier dont le fils Pierre prit la terre plus tard.

Sur la ligne de l'est et au sud de Hoey, habitait un Rabut. Je ne sais pas qui a cette terre aujourd'hui, peut-être son fils Pierre. En allant toujours vers le sud, nous trouvons la terre qui appartenait à Roland Frigon. Il la vendit aux Goddue qui eux, plus tard la passèrent à leur gendre, Lepage. Sur la ligne, mais plus à l'est, sur ce qu'on appelait le chemin de Domrémy, à deux milles de Hoey, habitait le père Achille Godin décédé lui aussi dans ses 90 ans. À l'est de Godin vivait Bruno Vallée dont la terre passa à un neveu. À cinq milles de Hoey, toujours sur cette ligne allant vers l'est, il y avait le père Auguste Joubert et plus au nord, la terre de son frère Gustave. Toujours plus à l'est, c'était les Barre dont le gendre Hamoline prit la terre plus tard.

Voilà à peu près les fermiers qui habitaient le district de Hoey en 1915 ainsi que quelques-uns de ceux qui les suivirent.

Le premier fermier de langue française à venir s'établir tout près de Hoey après 1915 était Thomas Lefaivre, arrivé en 1916. Il prit la demi-section à l'ouest de celle de West Hoey. Ensuite, en 1917, vinrent Michel Garneau et Octave Parent dont les terres touchaient le village au nord et à l'est. Frank Doucette fut succédé par Samuel Chicoine et les Roberge, neveux d'Achille vinrent ensuite. Jos Roberge, de retour de la guerre de 1914-18, prit le carreau de la section d'école un peu au sud et à l'ouest du village, en 1920. Vers 1917 arrivèrent Donat Ladouceur, Laberge, Léo English et les Trottier (Alidor et Jimmy vers l'école Glendale) et Donat et son père prirent un carreau de terre en face de celui du père Léon Ménage. Les Turcotte de Dina vendirent leur terre à Émile Dupuis à l'est des Laberge et des Chicoine. Compagnon, qui était à Hoey en 1915, vendit sa terre à Ovide Desautels. Albert Joubert, fils d'Auguste, avait un carreau de terre au nord-est de Hoey. Un Grimard de Prud'homme avait aussi un carreau dans le même coin qu'il vendit à Albert Joubert, ce qui fit sa demi-section. Léon Ménage, arrivé en 1916, prit la terre du père Barbier, curé de Domrémy, au sud et touchant le village.

Après la guerre de 1914-18 vinrent les Toullelan, les Potter et George Ashby. Sur la section de Tom Young, beau-frère des Hoey, vinrent Arthur Lépine, Charles Pilon, Jos Tournier et son frère Louis, qui s'installa un peu plus au sud, mais voisin de Hupolite Guigon. Albert Dupuis, frère d'Émile, acheta la terre au sud de celle de Léon Ménage et de Willie Garson. Jos Tournier vendit à Arthur Dupuis (frère d'Émile et d'Albert) et prit la demi-section de Roland Frigon, au nord de Walter Pettit. Les Papen arrivèrent parmi les derniers. Jean Papen avait pris une terre avec son beau-frère à l'ouest et au nord de celle de Jack Potter. Son beau-frère retourna en Belgique. Plus tard, Robert Vallet acheta une terre voisine de celles de Papen et de Fernand Begrand. Le docteur Moreau acheta une terre à l'est et au nord, voisine de celle d'Ovila Desautels. Plus tard, vers les années 1928-29, les Richard, les Vandals, Jackman et Lefrançois achetèrent des terres à l'ouest du village.

Parmi les vieux pionniers venus de France, il faut aussi mentionner la famille Branger: Baptiste, l'aîné, et son frère Calixte. Le père Branger était Breton et décéda à Saint-Louis. C'était un homme des plus considérés. J'allais oublier mon vieux père Perrinet décédé à l'âge de 81 ans et qui était notre ancien voisin de «homestead» à Margo, Saskatchewan. Il vint nous voir à Hoey et j'ai pu lui faire acheter la demi-section d'Eugène Baril qui venait tout juste de la défricher. Un autre vieux pionnier à ne pas oublier était le père Pannetier, beau-frère de Baptiste Branger et du vieux Poitevin. Il décéda à l'âge de 90 ans. Un autre ancien résidant de Hoey était Éli Godbout. Il vint à Hoey vers 1920 après avoir vendu son «homestead» au sud de Domrémy.

La plupart des vieux pionniers de la région, sauf pour les Métis de langue anglaise et française arrivés plus tôt, sont arrivés y prendre des concessions entre 1890 et 1900. Pour autant que ma mémoire me soit fidèle, les Canadiens français et les Français arrivés à Hoey et dans la région se répartissent comme suit:
Les Canadiens français

Les Baribeau, Roland Frigon, Achille Godin, Bruno Vallée, Abel, Octave Parent, les Trottier, Donat Ladouceur, Adélard Houle, Michel Garneau, Thomas Lefaivre, Roch Lefebvre, Eli Godbout, Albert Labonté, Michel Hallé, Gédéon Poulin, les Roberge (deux familles), Lepage, Goddue, Léo English, Ovide Desautels, les Laberge, Samuel Chicoine, Doucette, Lavergne, Saint-Arnaud. D'autres tels le docteur Moreau, les Dupuis, Lavertu ainsi que plusieurs personnes que vous avez connues sont arrivés plus tard.
Les Français

De l'Ille-et-Vilaine et de Mayenne: les Branger, Daniel, Georget, Agnès, Marsollier, Barre, Perrinet, Cochet, Doderé, Rabut, Baudais. Du Massif central (Auvergne, Lozère, etc.): les Boyer, Viala, Vey et Tessier. De la Vendée: les Guillet et les Joubert. Du Poitou: Godard, Compagnon et Pannetier. Du Jura, du Doubs et de la Savoie: les Blondeau, Guigon, Tournier et Magnin. Comme Bretons de langue bretonne: les Savidan, les Toullelan. Les Parisiens: Lucien Mareschal et le père Renne. Notre famille est de la Charente.
Les Belges

Les familles Miteau, Begrand, Neefs et Papen.
Les Métis de langue française

Les Boucher, Champagne, Pilon, Lépine... mais de nombreuses autres familles établies à Saint-Louis sur les lots de rivière.

Je dois ajouter qu'il y a eu de nombreuses autres personnes de langue française qui sont passées par Hoey, dont les enseignants Louis Charbonneau, Brunelle, Rosaire Gagné, Antonio de Margerie, Germain Roy et leurs épouses et familles. Mesdemoiselles Bibianne Richard, Blanche Schiller, Laliberté, Regnier, Gauthier, de Margerie, ainsi que d'autres dont j'ai parlé ailleurs. Il y avait aussi les employés de la banque: Forest, Hallé, Landry, Langevin, Rivest, Migneault, etc... Il y a eu les Neault, les Cloutier, Boileau, les Bernier, Lavigne, Labrie, Armand Lefebvre (cordonnier), les Lefrançois et combien d'autres encore.

Quelques-unes de ces familles ont pu survivre à la crise et leurs descendants sont toujours là. Hoey, lui, s'est vidé pendant la Dépression. Les familles se sont dispersées soit dans l'Est ou dans les provinces voisines ou dans les villes de Prince Albert, de Saskatoon et de Regina.

Tous ces gens ont enrichi notre petit patrimoine. Chacun à sa façon a aidé à rendre prospère notre petite communauté.

(Jean-Amédée Motut est né le 14 décembre 1882 dans une commune de Charente, France. Très jeune, il est placé comme apprenti chez un forgeron. En avril 1907, il épouse Alix Goret. À cette époque, un de ses clients connaît plusieurs Français établis dans la région de Domrémy et Bonne Madone. En 1912, Jean-Amédée et son épouse quittent la France pour le Canada. Il obtient un homestead à Margo, Saskatchewan, mais deux ans plus tard il reprend le travail de forgeron à Wakaw, Saskatchewan. En 1915, le sénateur Davis lui offre une forge déjà établie à Hoey. En 1938, il quitte Hoey pour se rendre en Colombie-Britannique. Il est décédé à Mission, Colombie-Britannique, le 23 janvier 1968.)  
Baribeau, François-Xavier (I0054)
 
8 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P57384)
 
9 Elle est décédé après le mariage de sa fille Marguerite, le 9 JUL 1822 mais avant le décès de son mari, le 23 SEP 1837. Gauthier, Victoire (I4191)
 
10 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P63656)
 
11 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P36347)
 
12 "Esdras Bourk Enfants du premier mariages: Calixte, Louis, Marie (Madame Octave Poirier), Georgina (Madame Célestin Champagne), Caroline, (Madame Joseph Théroux). Enfants du second mariage: Samuel, Léopold, Philippe, Séraphin, Jean-Baptiste, Thyrza, (Madame Philippe Auclair), et Rébecca.  Bourque, Esdras (I0166)
 
13 02748 South Dartmouth, Bristol, Massachusetts, United States of America Héroux, Normand (I1355)
 
14 02861 Pawtucket, Providence, Rhode Island, United States of America Héroux, Hervé (I1357)
 
15 1 nov 1979: Vente de sa terre Labonté, Paul-Émile (I0010)
 
16 1 Winter St, Marlborough, MA, 01752-4513 (????)
78 Ridge Rd, Marlborough, MA, 01752-1423 (1985)
27 Camelot Rd, Yarmouth Port, MA, 02675-1306 (1989)
 
Héroux, Marcel (I1362)
 
17 1. Parmi les enfants de Jérémie Boisjoli et Olive Binet, il y a Marie Caroline Boisjoli qui est baptisée le 14 octobre 1839 et il y a Joseph Boisjoli baptisé le 13 février 1842 (Selon les actes de baptême).

2. Au recensement de 1901, il est dit être né le 29 février 1841.
-> La date exacte du 29 est impossible puisque l'année bisextile la plus proche est 1840 et cela est trop proche de la naissance de sa soeur Marie Caroline le 14 oct 1839.
-> La date est possible puisqu'elle tombe entre sa soeur Caroline et son Joseph. Mais aucun acte de baptême de Tréfflé Boisjoli n'est visible entre les dates de naissances de Caroline et Joseph.

1. Au recensement de 1891 (le 7 avril 1891), Tréffle Boisjoli dit avoir 49 ans.
-> Sa date de naissance devrait être entre le 8 avril 1841 et le 7 avril 1842.
-> Cela ne concorde pas avec le recensement 1901.

3. Au recensement de 1901 (11 avril 1891), sa femme Ide Rivard dit avoir 55 ans et être née le
25 juillet 1845 alors que son acte baptême est clairement en juillet 1846.
-> Ide se trompe de 1 an.

4. Étant donné que les recensements de 1891 et 1901 sont pratiquement à la même date, l'écart d'âge entre Tréfflé et Ide et ses enfants devraient être le même. Dans les 2 recensements, Ide et Tréfflé ont 5 ans d'écart. Par contre, tous les enfants sans exception ont un an de plus par rapport à leur parent dans le recensement de 1901.

5. Le premier enfant de Tréfflé Boisjoli et Ide Rivard se nomme Joseph-Tréfflé Bosjoli.
-> Cela pourrait bien être le nom du père à sa naissance aussi.

6. Il n'existe aucun acte de mariage ou sépulture pour Joseph Boisjoli (à l’exception du fils de Tréfflé Boisjoli).

Conclusion: Cela donne vraiment l'impression que les dates dans le recensement de 1901 sont erronées et que le recensement de 1891 est correct.

Donc que l’acte de naissance de Joseph Boisjoli est fort probablement celui de Tréfflé Boisjoli.
 
Boisjoli, Tréfflé (I0036)
 
18 1er mariage: https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/FZ9D-QQL

2e mariage: https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/N3LL-DVM

 
Lamothe, Joseph (I2005)
 
19 1ère communion: 10 juin 1899

Confirmation: 16 juin 1902

Entrée au Noviciat: 16 octobre 1910, Hôtel-Dieu de Nicolet

Vêture: 7 avril 1911

Prof. temporaire: 18 mars 1913

Prof. perpétuelle: 19 mars 1918 
Labonté, Hélène (I1113)
 
20 560 Somerset Ave, Taunton, MA, 02780-4843 Héroux, Normand (I1355)
 
21 67 Henry St, Central Falls, RI, 02863-2009 Héroux, Laurier (I1363)
 
22 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I0004)
 
23 A son décès en juin 1881, il est mentionné Willy comme prénom. Or, en avril 1881, lors du recensement, il n'y a pas de Willy dans le famille de Tréfflé mais il y a un George. Il n'y a pas de George dans le recensement de 1901. Boisjoli, Georges (I1908)
 
24 A son deuxième mariage, François-Xavier Baribeau avait épousé Lucie Dufresne, soeur de Ludger Dufresne, gendre de ce même François-Xavier Baribeau. Ludger Dufresne avait épousé Marie-Louise Baribeau, fille de ce même François-Xavier Baribeau. Lucie Dufresne étant la soeur de Ludger Dufresne, devenait la belle-mère de Ludger Dufresne par alliance suite à son mariage avec François-Xavier Baribeau. De plus, Lucie Dufresne, belle-soeur de Marie-Louise Baribeau devenait la belle-mère de Marie-Louise Baribeau, fille de François-Xavier Baribeau par ce second mariage.
 
Baribeau, François-Xavier (I0054)
 
25 A son mariage, elle est dite majeure, situant ainsi sa naissance avant le 13 février 1877 (l'âge de la majorité étant de 21 ans à cette époque). Bigue Nobert, Geneviève (I0223)
 
26 A vérifier:

Elle a peut-être été Soeur St-Esprit des soeurs de la charité à St-Hyacinthe. 
Houle, Marie-Adélaïde (I2382)
 
27 A vérifier:

Elle a peut-être été Soeur Thérèse de Jésus des soeurs de la charité à St-Hyacinthe. 
Houle, Esther (I2385)
 
28 A vérifier: probablement Anasthasie à sa naissance. Boisvert, Marie (I0085)
 
29 A vérifier: sur l'acte de baptème, il est écrit Marie-Rose au lieu de Émérance. Il s'agit peut-être d'une erreur d'écriture. Ricard, Émérance (I0227)
 
30 À Victoriaville, le vendredi 26 octobre 2007, est décédée à l'âge de 91 ans, madame Cécile Paris, veuve de monsieur Josaphat Gagné demeurant à Victoriaville. Elle laisse dans le deuil, son fils, Jean-Claude; sa bru Claire Vigneault (feu Donald); ses petits-enfants Marie-Eve, Audrey, Eric, Sylvie et François; son frère, Gaston; ses beaux-frères et belles-sœurs de la famille Gagné. Elle était aussi la sœur de feu Hervé Paris et feu Juliette Paris. Elle laisse également de nombreux neveux et nièces ainsi que plusieurs autres parents et ami(e)s. LES FUNÉRAILLES ont eu lieu le mercredi 31 octobre à 14 h en l'église Saint-Christophe-d'Arthabaska et de là au cimetière paroissial. Madame Paris Gagné a reposé à la Résidence funéraire des Bois-francs, 88, rue Saint-Jean-Baptiste, Victoriaville. Des dons à la Fondation de l'Hôtel-Dieu d`Arthabaska seraient appréciés par la famille.  Paris, Cécile (I1371)
 
31 Absente de la famille du recensement de 1881. Elle est probablement décédé aux débuts des années 1870 alors que la famille était aux États-Unis. Girard, Eugénie (I2314)
 
32 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I0004)
 
33 Acte 9360:
Il est possible de suivre la chaine de titre de son voisin Abraham Dionne par les enregistrements suivants: 19886, 19888, 20055 aboutissant au lot 39 dans le livre de renvoi. Cela nous confirme que l'acte 9360 est bien l'achat du lot 40.

Acte 1302:
Afin d'éviter toute confusion avec le lot précédent, il est possible de suivre la chaine de titre de son voisin Jean-Baptiste Bergevin par les enregistrements suivants: 22957, 24129, 26482 pour aboutir au lot 43 dans le livre de renvoi. Il est possible de déduire que le lot 44 (appartenant alors à son frère) est le bon. 
Tessier, Israël (I0046)
 
34 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P103432)
 
35 Acte de décès:

https://familysearch.org/pal:/MM9.3.1/TH-266-11832-117457-72?cc=1463156&wc=12502783 
Houde Desruisseaux, Virginie (I2461)
 
36 Acte de décès:

https://familysearch.org/pal:/MM9.3.1/TH-266-12868-21545-71?cc=1601211 
Gauthier, Luc (I2528)
 
37 Acte de décès: https://familysearch.org/pal:/MM9.3.1/TH-1942-22484-46958-38?cc=1784223&wc=13971647 Hamel, Joseph (I2366)
 
38 Acte de mariage: http://search.ancestry.com/browse/view.aspx?dbid=2495&iid=40143_271121__0131-00075&pid=17806079&ssrc=&fn=Esther&ln=Heroux&st=g

Acte de décès: https://familysearch.org/pal:/MM9.3.1/TH-266-12120-94765-75?cc=1463156&wc=12502511 
Héroux, Esther (I2264)
 
39 Acte de marriage:
http://search.ancestry.com/cgi-bin/sse.dll?indiv=1&db=fsnewhampshiremarriage&rank=1&new=1&MSAV=1&msT=1&gss=angs-d&gsfn=Alexis&gsfn_x=NN&gsln=Blais&gsln_x=XO&msbpn__ftp=New+Hampshire&cpxt=1&catBucket=rstp&uidh=m22&cp=12&pcat=34&fh=0&h=873491&recoff=20+52+53


Il s'agit probablement d'elle dans le recensement de 1920(US):
http://search.ancestry.com/iexec?htx=View&r=an&dbid=6061&iid=4301098-00268&fn=Azilda&ln=Noel&st=r&ssrc=&pid=16442468 
Blais, Exilda (I2602)
 
40 Acte de marriage: http://search.ancestry.com/browse/view.aspx?dbid=2495&iid=40400_274767-00811&pid=44029665&ssrc=&fn=George&ln=Tessier&st=g Tessier, George (I2364)
 
41 ACTE DE NAISSANCE D'ONÉSIME HOULE

PROBLÈME:

Dans les registres, il existe un acte de naissance pour François-Élisée Houle mais aucun acte de naissance pour Onésime Houle.

FAITS:

- Le recensement de 1861 lui donne une date de naissance entre avril 1833 et mai 1834. Par contre, il manque 1 an à l'âge de sa femme qui aurait avoir 26 ans au lieu de 25 si on se fie à son acte de baptême. L'âge de Onésime est fort probablement en erreur de 1 ans aussi.

- Dans le livre "Les Bois-Francs", p.147 il est mentionné qu'il est baptisé en septembre 1832.
- Les recensements de 1871, 1881 et 1891 lui donne une date de naissance entre avril 1832 et mai 1833.
- Sa sépulture est plus précise et donne aux environs de aout 1832
- Sa pierre tombale dit qu'il est né en 1832.
- Il n'y a aucune preuve, à ce jour, de l'existence de Francois Élisée Houle non plus. Aucune trace de mariage ou de sépulture pour Francois.

Dans le recensement de 1861, on peut voir Charlotte Langevin et Ambroise Girouard (2e mari) et Adéline, Adolphe, Odelie et Esther. Adélaïde et Onésime étaient déjà mariés et n'étaient plus chez leurs parents. Pas de trace de Francois et Reine.


ANALYSE:

Selon l'acte de sépulture, il est décédé à 59 et 8 mois. Le nombre de jours a fort probablement été arrondi vers le mois le plus bas.

Selon l'acte, il serait né en même temps entre le 13 aout et 13 septembre 1832. Mais il n'y aucune acte de naissance pour Onésime Houle dans cette période.

De plus, une naissance dans cette période est impossible puisque Reine Houle est née au mois d'avril 1833. La naissance devrait plus se situer aux environs des mois de mai ou juin et encore c'est relativement serré entre les naissances de François et Reine pour ne pas dire impossible.

L'autre possibilité est d'admettre qu'il y a erreur sur l'âge et qu'il soit né en aout 1831. L'acte de François-Élisée serait alors celui d'Onésime.


Il n'y a donc 2 possibilités:

Possiblité 1:
François-Élisée ne s'est pas marié ou l'acte de mariage est aussi introuvable.
L'acte de décès de François-Élisée est inexistant ou introuvable.
François-Élisée n'est visible dans aucun recensement.
L'acte de naissance d'Onésime est inexistant ou introuvable.
Il y a erreur sur le mois de naissance d'Onésime dans l'acte de sépulture.
Il y a eu 3 naissances à intervales de 10 mois.

Possibilité 2:
L'acte de naissance de François-Élisée est celui d'Onésime.
Il y a erreur de 1 ans sur l'âge d'Onésime dans les recensements et l'acte de sépulture.



CONCLUSION

J'ai tendance à croire la possiblité numéro 2. Elle suppose aucune erreur dans les registres et il est plus facile de commettre une erreur sur l'âge que le mois de naissance.


De plus, les autres naissances suivent une fréquence plus proche de 2 ans que de 10 mois.

MISE À JOUR (26 MARS 2016)

Dans l'acte d'inventaire de la communauté de Godfroy Houle et Charlotte Langevin du 24 JUL 1845, Onésime Houle est déclaré avoir 13 ans. Encore jeune et l'information venant de sa mère, le risque d'erreur est faible et situe la naissance entre le 24 JUL 31 et le 23 JUL 32. Cela semble donc confirmer la conclusion précédente. 
Houle, Onésime (I0038)
 
42 Acte de naissance: https://familysearch.org/pal:/MM9.3.1/TH-1-10014-73690-65?cc=1784223&wc=13971256 Blais, Louise (I2671)
 
43 Acte de naissance: https://familysearch.org/pal:/MM9.3.1/TH-266-11780-92910-82?cc=1784223 Robert, Henri (I1172)
 
44 Actes de décès:
http://search.ancestry.com/browse/view.aspx?dbid=1607&iid=31394_207070-02385&pid=269804&ssrc=&fn=Narcisse&ln=Heroux&st=g 
Héroux, Narcisse (I2273)
 
45 Address 1:
251 Great Rd, North Smithfield, RI, 02896

Address 2:
PO Box 7, Woonsocket, RI, 02895-0779 (1990)
 
Héroux, Armand (I1358)
 
46 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P63864)
 
47 Adresse au recensement du Rhode Island en 1935:
122 Cottage St,​ Central Falls,​ Providence,​ Rhode Island 
Héroux, Josephat (I1351)
 
48 Agée de 18 ans dans son contrat de mariage de 1777. Béland, Thérèse (I0483)
 
49 Album 1

https://www.flickr.com/photos/129610010@N02/sets/72157649077554170/ 
Gagné, Hilaire (I0008)
 
50 Alexandre, sa femme ainsi que Joseph, Pierre, Marie et Michel sont visibles dans le recensement de 1870 aux États-Unis:
https://familysearch.org/pal:/MM9.3.1/TH-266-12305-154669-20?cc=1438024 
Hamel, Alexandre (I0094)
 
51 ALMA DANCAUSE (Postulante chez les Soeurs de Saint-Joseph à son décès)


Les jours filaient dans un renouveau de santé quand la typhoïde est venue s’installer encore au Noviciat. Ces jours derniers, elle a rendu à sa famille Sœur Saint-Cléophas qui s’en est allée les yeux pleins de larmes. Sous une fièvre ardente, Sœur Sainte-Cécile et Sœur Saint-Alfred gémissent dans leur lit. Et ce matin, se faisant l’auxiliaire de la mort, elle brise la vie d’une postulante, Sœur Alma Dancause.

Cette chère enfant, est entrée au noviciat, le 1er mars derniers. Atteinte gravement par la typhoïde, il y a une huitaine, on n’épargna ni soins ni remèdes pour notre jeune malade : mais le bon Dieu voulait cette âme dans le cortège virginal qui magnifie l’Agneau. Donc, ce matin, alors que son infirmière était allée communier, Sœur Alma ouvrit ses ailes et prit son envol vers le paradis.

Quelle ne fut pas la surprise de Sœur Saint-Hyacinthe à son retour de la table sainte!... Elle avertit notre Révérende Mère Supérieure qui arrive auprès de la couche funèbre. Quelques Sœurs s’approchent aussi de la défunte et ensemble, elles récitent le De Profundis.

On ensevelit dans un costume séculier la chère défunte et on l’expose dans la petite pièce attenante au salon de Monseigneur.

Sœur Alma n’a que 20 ans. Elle est la sœur de notre Sœur Marie-de-Jésus et de Sœur Marie-de-Lourdes décédée le 10 août 1902. A notre chère Sœur qui voit la mort briser de beaux lis épanouis au sein de sa famille, nous offrons l’hommage de nos fraternelles sympathies.

Funérailles de notre postulante Alma Dancause. Après le service chanté par Monsieur l’Aumonier, Monsieur Médéric Dancause, médecin ramène à Saint-Paul de Chester, les restes mortels de sa jeune sœur afin de les inhumer au cimetière de sa paroisse natale, auprès de sa regrettée mère.


[ Source : Jeannine Marcoux, archiviste des Sœurs de Saint-Joseph ]
 
Dancause, Alma (I1896)
 
52 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P58116)
 
53 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P24414)
 
54 Après la naissance sa fille Marie, le 11 juillet 1817 mais avant le deuxième mariage sa femme, Josephte Levesque avec Charles Dupuis, le 5 JUL 1819 Héroux Bourguinville, Benoit (I5288)
 
55 Après le 22 nov 1830 (le décès de sa femme). Girard, Michel (I0210)
 
56 Après le 25 JUL 1842, mariage de son fils Joseph a Sherbrooke Langevin, Joseph (I3811)
 
57 Après le 5 nov 1889, mariage de son fils Adélard Désaulniers à Norton Mills, USA

Pierre tombale de Alexis Lesieur Desaulniers et Rosalie Brousseau: http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=gr&GSln=brousseau&GSiman=1&GScid=103648&GRid=105814380& 
Lesieur Désaulniers, Alexis (I3439)
 
58 Après le mariage de son fils Charles, le 25 SEP 1832 (présence bien mentionnée)  L'Hérault L'Heureux, Joseph (I0300)
 
59 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P58397)
 
60 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P73923)
 
61 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P39722)
 
62 Attention. L'acte de naissance est disponible seulement dans la version des registres de paroisses. Elle n'est pas disponible dans la version civile.

Il semble que pour le mois de mai 1843, les 2 copies de registres sont différentes. Certains actes ont été écris dans une 1ere copie alors que d'autres ont été écrits dans la 2e copie. Il semble que l'erreur fut découverte et que les actes manquants dans le 1ere copie ont été recopié à partir de la 2e copie. On le voit par les dates qui sont hors séquence. Mais on dirait que les actes existants uniquement dans la 1ère copie n'ont pas tous été retranscrits dans la 1ère. Donc, celui de Esther Houle existe uniquement dans la copie de la paroisse. 
Houle, Esther (I2385)
 
63 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I1969)
 
64 Au décès de Jean-Baptiste Grenier, Marie-Odile Bourassa est allée demeurer chez un lointain cousin (ancêtres communs: François Bourassa et Marie Boucher), le prêtre Philippe Bourassa de St-Elphège, comme servante avec ses enfants Diana et Origène. Elle le suivit ensuire à St-Bonaventure où sa fille Diane se maria à Oscar Labonté. Par la suite, Odile suivit le curé Bourassa à Saint-Paul de Chester puis St-David d'Yamaska. Son fils, Origène Grenier, fut ordonné prêtre le 22 juillet 1917. Il devint alors vicaire pour le curé Philippe Bourassa à St-David. Au décès du curé Philippe Bourassa le 27 janvier 1933, Odile Bourassa suit son fils qui devient curé à Saint-Raphael (Aston Jonction) le 16 février 1833 puis à St-Célestin le 24 avril 1936.

Sources:
- Le clergé du diocèse de Nicolet 1885-1975 par Rémi Fafard.
- Généralogie de sieur Origène Grenier par Joseph Drouin. 
Bourassa, Odile (I0043)
 
65 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P26222)
 
66 Aussi Marie Corbin-Nadeau.| Témoin-M: Jean Nadeau et François Proulx.| Corbin Nadeau, Geneviève (I0177)
 
67 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I1127)
 
68 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P57583)
 
69 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P27541)
 
70 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P50588)
 
71 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P54491)
 
72 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P53608)
 
73 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P46911)
 
74 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P37157)
 
75 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P33252)
 
76 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P2989)
 
77 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P13789)
 
78 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P2011)
 
79 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P50529)
 
80 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P43761)
 
81 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P53017)
 
82 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P65043)
 
83 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P16499)
 
84 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P11165)
 
85 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P29871)
 
86 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P77535)
 
87 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P1564)
 
88 Baptisé le 17 avril 1724 à port-royal. Richard, Grégoire (I0388)
 
89 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P15067)
 
90 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P43771)
 
91 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P13290)
 
92 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P85693)
 
93 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P67208)
 
94 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P32494)
 
95 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P39833)
 
96 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P3843)
 
97 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P19052)
 
98 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P39063)
 
99 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P26700)
 
100 Baptisé le jour de sa naissance. La naissance et le baptême de cet immigrant sont tirés du fichier origine Nicole, Jacques (I0262)
 
101 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P36697)
 
102 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P165872)
 
103 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P35046)
 
104 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P9046)
 
105 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P44771)
 
106 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P26078)
 
107 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P60364)
 
108 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P58129)
 
109 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P219321)
 
110 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P47329)
 
111 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P37252)
 
112 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P4444)
 
113 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P56948)
 
114 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P10965)
 
115 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P38362)
 
116 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P64457)
 
117 Baptisée le 24 juin. Source : acte du registre paroissial aimablement porté à notre attention par robin heider Blanchard, Marie (I0419)
 
118 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P144955)
 
119 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P169417)
 
120 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P217277)
 
121 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P18176)
 
122 Baptisée le jour de sa naissance Thibault, Marie Ludivine (I3887)
 
123 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P25387)
 
124 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P110059)
 
125 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P160177)
 
126 Basé sur l'age des recensements, il est fort probable que l'acte de baptême de Marie Geneviève soit celui recherché. De plus, l'acte de baptême précédent, soit de Julie en 1801, est suivi d'un acte de décès et l'acte de baptême suivant est un garçon. Caron, Marie Louise (I0231)
 
127 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P26869)
 
128 Bien que le lot 26 du cadastre de St-Christophe a été acheté en 1871, il est bien spécifié dans l'acte que Narcisse Lavigne était installé comme "squatteur" depuis quelques années. Rivard Lavigne, Narcisse (I0074)
 
129 Bien que le lot 26 du cadastre de St-Christophe a été acheté en 1871, il est bien spécifié dans l'acte que Narcisse Lavigne était installé comme "squatteur" depuis quelques années. L'Heureux, Julie (I0075)
 
130 Bien que le lot 26 du cadastre de St-Christophe a été acheté en 1871, il est bien spécifié dans l'acte que Tréfflé Boisjoli était installé comme "squatteur" depuis quelques années. Lavigne, Ide (I0037)
 
131 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P25064)
 
132 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P25065)
 
133 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P41097)
 
134 Cause du décès: cancer du cerveau. Héroux, Anna (I0011)
 
135 Cause du décès: septicémie suite à une pneumomie et potentiellement lié à une infection à la Clostridium difficile (qui revenait régulièrement dans la dernière année). Labonté, Paul-Émile (I0010)
 
136 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P47542)
 
137 Célibataire Gagné, Médéric-Donat (I1074)
 
138 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I1058)
 
139 Certaines de ces informations proviennent des notes personnelles de Thérèse Dufresne. Dufresne, Ludger (I0026)
 
140 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P53282)
 
141 Chaine de titres du lot 141:
Vente du lot 63 par Louis Gaspard Fortin à Césaire Fortin (Pierre Célestin Fournier, 15 SEP 1859)
Vente du lot 63 par Césaire Fortin à Nazaire Boulé (enr. 16776, réf. à l'acte précédent)
Vente du lot 141 par Nazaire Boulé à (enr. 26704, réf. à l'acte précédent)

Chaine de titres du lot 142:
Donation par Pierre Pelletier à Pierre Pelletier (enr. 16056)
Vente par Pierre Pelletier à Alexis Pelletier (enr. 18205) (il s'agit de Alexis Pelletier, époux de Justine Guimond, son oncle et non son frère) (réf. à l'acte précédent)
Donation par du lot 142 par Justine Guimond, épouse de feu Alexis Pelletier à Pierre Dominique Pelletier, son fils (enr. 35537)
Le livre de renvoi pour le lot 142 nous donne les voisins de l'enr. 18205

 
Pelletier, Pierre (I0070)
 
142 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P365941)
 
143 Chez son frère Hubert, dans le recensement de 1852 Girard, Marie Louise (I3341)
 
144 Cimetière de St-Bonaventure: lot E007 Labonté, Paul-Émile (I0010)
 
145 Cimetière de St-Bonaventure: lot E007 Héroux, Anna (I0011)
 
146 Cimetière de St-Bonaventure: lot E007 Labonté, Oscar (I0020)
 
147 Cimetière de St-Bonaventure: lot E007 Grenier, Diana (I0021)
 
148 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P119300)
 
149 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P20411)
 
150 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P73324)
 
151 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P7981)
 
152 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P8756)
 
153 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P112287)
 
154 Coiffeuse Dufresne, Germaine (I1330)
 
155 Commissaire d'école Gagné, Hilaire (I0008)
 
156 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I0004)
 
157 Confirmé le 11 octobre 1929 Labonté, Georgette (I1107)
 
158 Confirmé le 16 septembre 1926 Labonté, Paul-Émile (I0010)
 
159 Confirmée à l'église d'Arthabaska par l'évèque de Nicolet. Boisjoli, Gilberte (I0009)
 
160 Confirmée le 16 septembre 1926 Labonté, Yvonne (I1863)
 
161 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I1111)
 
162 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I0003)
 
163 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I1058)
 
164 Contradiction de date : l’acte de sépulture du registre de l’état civil indique le 7 DEC 1869 alors que le registre de la paroisse indique le 7 NOV 1869. Il est situé entre des actes du 24 NOV 1869, 25 NOV 1869 et des actes du 27 NOV 1869, 7 DEC 1869. La version de l’état civil semble donc plus probable. Tysdel Noël, Pierre (I0230)
 
165 Contradiction de dates: l’acte de baptême du registre de l’état civil indique le 12 APR 1763 alors que le registre de la paroisse indique le 12 MAR 1763. Il est situé entre un acte du 30 MAR 1763 et un autre du 19 APR 1763. La version de l’état civil semble donc plus probable. Billy Courville, Marie Madeleine (I0153)
 
166 Contradiction de dates: l’acte de baptême du registre de l’état civil indique le 24 JUL 1793 alors que le registre de la paroisse indique le 25 JUL 1793. Il est situé entre un acte du 21 JUL 1793 et du 27 JUL 1793.  Ritchot, Marie Archange (I0161)
 
167 Contradiction de dates: l’acte de baptême du registre de l’état civil indique le 4 MAR 1914 alors que le registre de la paroisse indique le 4 APR 1914. Il est situé entre un acte du 3 MAR 1914 et un autre du 7 MAR 1763. La version de l’état civil semble donc plus probable. Hamel, Alexandre (I0094)
 
168 Correction sur les lots 206 et 207:

Bien que Tréfflé Boisjoli a acheté ce lot en 1887, il n'existe aucune entrée dans le registre de la vente de ce lot. Aussi, il se dit propriétaire du lot dans le recensement agricole (schedule 2) de avril 1901. Mais lors de la donation de ces terres à ses fils en 1902, le lot 207 n'est aucunement mentionné. Mais, étrangement, la donation du lot 206 comprend 66 acres alors le lot 206 tel que décrit dans le livre de renvoi comporte 48 acres.

Presqu'au même moment, son voisin, Louis Deneau, reçoit en donation de son père le lot 207 en février 1901. De son côté, le lot 207 semble avoir perdu une partie de sa surface par rapport au livre de renvoi.

Si on regarde plus précisement:

Basé sur le livre de renvoi, les lots 207 et 206 ont respectivement 1.51 et 2.0 arpents pour un total de 3.51 arpents.

Par les actes donations de Pierre Deneau en 1901 et Tréfflé Boisjoli en 1902, nous pouvons trouver que les lots 207 et 206 ont respectivement 0.46 et 3.14 arpents pour un total de 3.6 arpents.

Il semble donc y avoir eu une correction sur le cadastre aux alentours ou avant 1901. La partie du lot 207 possédée alors par Tréfflé Boisjoli d'environ 1 arpent de front semble avoir été ajoutée au lot 206.

Encore aujourd'hui, ces ajustements sur les lots persistent et diffèrent du livre de renvoi. 
Boisjoli, Tréfflé (I0036)
 
169 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P64302)
 
170 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P48955)
 
171 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P3480)
 
172 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P70643)
 
173 Dans l'acte de baptême, il est écrit 1791 mais il y a erreur puisque l'acte se situe entre 2 autres actes datés de 1792. Richard, Julie Angélique (I0097)
 
174 Dans l'acte de décès, il y a erreur sur le prénom du père mais le nom complet de la conjointe et l'âge exacte de 8 mois nous permettent de confirmer qu'il s'agit du bon acte. Houde, Henriette (I3487)
 
175 Dans l'acte de mariage, il est spécifié que Marguerite Rivard est la fille de Lucie Meunier. Il s'agit fort probablement d'une erreur.

D'ailleurs, dans le livre "Les vieilles familles d'Yamachiche : dix généalogies", il semble que le nom de la mère soit interprétée comme Marie-Louise Meunier au lieu de Lucie Meunier. 
Rivard Loranger, Marguerite (I0225)
 
176 Dans l'acte de naissance, il y a erreur sur le prénom du père mais les parrains sont bien les grands-parents. Hamel, Michel (I2933)
 
177 Dans l'acte notarié du 24 janvier 1870, notaire Olivier Dupré, minutes 1806, il est mentionné que feu Marguerite Héroux était mariée à Louis Langevin et il est mention d'enfants mineurs. Héroux, Marguerite (I2270)
 
178 Dans la déclaration de décès, notaire François-Xavier Bellemare no. 6286, il est dit décédé le 13 JAN 1896. Lacerte, Joseph (I0118)
 
179 Dans le livre "Les Bois-Francs", p.147, il est mentionné qu'il arrive à Arthabaska au printemps 1848. Houle, Onésime (I0038)
 
180 Dans le livre de St-Bonaventure, il y a une erreur sur sa date de déces. Sa date de décès est le 7 mars 1964 et non pas le 7 novembre 1964. (source: archive des soeurs grises) Labonté, Éva (I1112)
 
181 Dans le minutier du notaire Thomas Barville pour la période allant du 20 mars 1519 au 22 mai 1519, est référencé l'acte suivant : Abandon par Louis et Raoul de Tarragon de l'usufruit de tous leurs biens à leur père Robert de Tarragon, seigneur de Morgues, homme d'armes de la compagnie du maréchal de Gyé de Tarragon, Robert (O156)
 
182 Dans le recensement agricole de 1861, Jérémie et son fils Tréfflé habitent sur le lot 28 du rang 7 du canton de Chester.

Bien que le lot 28 du canton de Chester a été acheté en 1871, il est bien spécifié dans l'acte que Tréfflé Boisjoli était installé comme "squatteur" depuis quelques années. 
Boisjoli, Tréfflé (I0036)
 
183 Dans le recensement agricole de 1861, Jérémie et son fils Tréfflé habitent sur le lot 28 du rang 7 du canton de Chester.

Son fils, Jérémie Boisjoli marié à Zoé Camirand, demeure sur le lot 26 du rang 7 du canton de Chester. 
Liénard Boisjoli, Jérémie (I0072)
 
184 Dans le recensement américain de 1870 (la liste des enfants correspond parfaitement):
http://search.ancestry.com/iexec?htx=View&r=an&dbid=7163&iid=4277175_00030&fn=Breno&ln=Roberts&st=r&ssrc=&pid=29427407


Source du décès`: http://trees.ancestry.ca/tree/26482391/person/5110691400

Il est décédé après le décès de sa fille Élisabeth le 12 janvier 1877 à Verchères 
Robert, Bruno (I3497)
 
185 Dans le recensement américain de 1930 à Niagara Falls, NY:

http://search.ancestry.com/iexec?htx=View&r=an&dbid=6224&iid=4639166_00305&fn=Anna&ln=Desaulmere&st=r&ssrc=pt_t24487311_p5019298329_kpidz0q3d5019298329z0q26pgz0q3d32768z0q26pgPLz0q3dpid&pid=43466110

Elle est visible dans le city directory de 1934 à Niagara Falls, NY. 
Boisvert, Anna (I2627)
 
186 Dans le recensement de 1852, il y a une Scholastique Caron marié à Joseph Mercier dont l'âge correspond parfaitement. Celle-ci décède le 31 DEC 1861 à St-Jean-Port-Joli alors que Joseph Mercier décède le 12 aout 1861.

Il pourrait bien s'agit de la Scolastique Caron recherché mais je ne trouve pas d'acte de mariage pour Joseph Mercier et Scolastique Caron.


Un bon candidat pour Joseph Mercier est:

Joseph Mercier m. Marie Beaudoin, le 23 NOV 1807, Paroisse N-D-de-l'Assomption, Berthier-Sur-Mer, co. Montmagny

Marie Beaudoin décède le 2 SEP 1837 à Berthier-en-Bas, Montmagny

Fille de Joseph Mercier et Scolastique Caron:

La fille de Joseph Mercier et Scolastique Caron, Joséphine, est née le 8 SEP 1839 à Berhier mais baptisée dans la paroisse St-Francois de la Rivière du Sud. Les parrains sont Thomas Coulombe et Adélaide Hoffman. Cette fille est visible dans R1852 avec ses parents et les parains sont les voisins.

Il est bien possible que Joseph Mercier et Scolastique ne se soient jamais mariés d'où l'absence d'acte de mariage.



 
Caron, Scholastique (I3574)
 
187 Dans le recensement de 1861, Jean Matheau et Olivine Bournival habitant chez Jean Matheau, père alors que dans le recensement de 1871, ils ont des residences distinctes mais à proximité. Matheau, Jean (I0112)
 
188 Dans le recensement de 1871, elle est domestique. Dancause, Justine (I2447)
 
189 Dans le recensement de 1911, Alexandre et Mathilde demeurent chez leur fils Pierre à St-Bonaventure. Hamel, Alexandre (I0094)
 
190 Dans le recensement de 1911, il vit à St-Bonaventure et héberge ses parents. Hamel, Pierre (I2368)
 
191 Dans le recensement, Maxime Gagnon est dit cuisinier (cook).

Or on retrouve un Maxime Gagnon, cuisinier, sur la rue 139 Shrewsbury dans les city directory de Worcester jusqu'à son décès en 1892. 
Héroux, Esther (I2264)
 
192 Dans le US Census de 1910 au New Hamphire (Lebanon, Grafton, New Hampshire)
: https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/MLZ3-TPC

 
Houle, Adolphe (I2383)
 
193 Dans les recensements de 1861 et 1871, la famille de Pierre Pelletier et Adelaide Pelletier n'héberge pas les parents d'Adélaide.

L'information de décès provient de ce lien:
https://www.ancestry.ca/family-tree/person/tree/58134105/person/310174076761/facts.
L'information, bien que sans source, semble plausible et le reste de l'information familiale est exacte. Les informations des parents (information rarement visible dans les arbres ou les autres membres) est aussi exacte et correspond à ce que j'avais trouvé. D'ailleurs les parents demeurent à proximité sur le côté canadien de la frontière. 
Bélanger, André (I0142)
 
194 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P6516)
 
195 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P72174)
 
196 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P7126)
 
197 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P11018)
 
198 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P54934)
 
199 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P5398)
 
200 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P53415)
 
201 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P52027)
 
202 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P48452)
 
203 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P55244)
 
204 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P20191)
 
205 Date du décès:

Présent au baptême de sa fille Victorine le 18 dec 1851 mais l'inventaire de la communauté de biens entre Louis Payet et Julie Wilhelmy a eu le 23 oct 1854 (Joseph-Napoléon-Azarie Archambault, no. 2347 et 2348).

Aussi, l'inventaire après décès mentionne qu'il est décédé (sépulture) en juillet 1854 à Montréal après une maladie.

Or, il y a justement un décès d'un Louis Payet le 21 juillet 1854 pour lequel sa sépulture a eu lieu à la basilique Notre-Dame. Sa profession est menuisier comme celui recherché. Mais le nom de l'épouse est absente et l'âge a une erreur de 12 ans­. Cela s'explique peut-être par son décès à l'hôpital, soit hors de sa paroisse et d'informations fiables à ce moment. 
Payet, Louis (I0246)
 
206 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P28384)
 
207 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P60778)
 
208 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P2214)
 
209 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P50528)
 
210 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P65495)
 
211 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P65498)
 
212 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P64786)
 
213 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P28385)
 
214 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P60684)
 
215 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P63197)
 
216 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P2834)
 
217 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P30245)
 
218 Décédé à la maison vers l'heure du dîner. Cause probable du décès: arythmie. Lamothe, Pierre (I0006)
 
219 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P63647)
 
220 Décédé aprèes la naissance de son fils théotiste le le 11 avril 1839.

Elle est probablement décédée aux États-Unis comme son frère Charles aussi marié à un Cayer. 
Grenier, Sophie (I2835)
 
221 Décédé après la naissance de son fils pierre le 17 juin 1837.

Plusieurs arbres sur ancestry mentionne un décès le 5 septembre 1882 mais sans spécifié de lieu. Par contre, les enfants se situent aux États-Unis.

De plus, il y a cette pierre tombale dont le nom et l'âge correspondent parfaitement à Ogdensburg, St. Lawrence County, New York, USA:
http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=gr&GSln=GREN&GSpartial=1&GSbyrel=all&GSst=36&GScntry=4&GSsr=161&GRid=27408286&

Sa femme:
http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=gr&GSln=Grenier&GSiman=1&GScnty=2022&GRid=27408292&

Son fils Charles semble aussi dans le même cimetière:
http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=gr&GSln=Grenier&GSiman=1&GScnty=2022&GRid=26742242&

Aussi, l'acte notarié chez le notaire Joseph-Charles Bourassa, minute 3730 souligne que Charles réside à Ogdensburg, États-Unis. 
Grenier, Charles (I2830)
 
222 Décédé après le mariage de sa fille Alpheda Villemur le 29 aout 1906. Lefebvre, Narcisse (I3533)
 
223 Décédé après le mariage de son fils Thomas le 16 fevrier 1874. Fortin, Joseph-Marie (I3024)
 
224 Décédé avant le mariage de sa fille Adélaide, le 27 JUL 1896 mais après le mariage de son fils Adélard, le 16 MAY 1890 Noël, Jacques (I4362)
 
225 Décédé avant le mariage de sa fille Majorique, le 1 octobre 1872.

Décédé après le mariage de son fils Léon, le 11 janvier 1858 
Bertrand St-Arnaud, Michel (I3384)
 
226 Décédé d'une longue maladie. Ducharme, Jean Baptiste (I0198)
 
227 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P48954)
 
228 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P3946)
 
229 Décédée à 35 ans en octobre 1843 suite à un accouchement. Lemieux, Émilie (I0069)
 
230 Décédée à 3h55 a.m. le samedi 7 mars 1964. Labonté, Éva (I1112)
 
231 Décédée après la naissance de son fils Pierre Eugène, le 9 décembre 1876.

Visible dans le recensement de 1881:
http://search.ancestry.ca/browse/view.aspx?dbid=1577&iid=31229_C_13196-00563&pid=1276691&ssrc=&fn=Leon&ln=Salais+Caya&st=g 
Hamel, Salomée (I2946)
 
232 Décédée après le 11 janvier 1875 (mariage de son fils George) Lemieux, Élisabeth (I3068)
 
233 Décédée après le mariage de sa fille Césarie le 3 fevrier 1880. Bellefeuille, Marie Anne (I3308)
 
234 Décédée avant le mariage de son fils François-Xavier Robert le 19 janvier 1875. Payet, Onésime (I0123)
 
235 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P13797)
 
236 Décédée de la grippe espagnole. St-Arnaud, Aurélie (I2285)
 
237 Décédée en accouchant de Philomène Bourk.

A CORRIGER:
La photo de l'acte de décès n'est pas la bonne. L'identification n'est pas la bonne dans la marge. La sépulture S57 est Philomène et S58 est Madeleine Levasseur. 
Levasseur, Madeleine (I0167)
 
238 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P25009)
 
239 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P44401)
 
240 Décédée entre le bapteme du fils (Ferdinand) de sa soeur delima Gauthier 21 mar 1863 et le 2e mariage de Hector Thibault le 29 octobre 1865. Gauthier, Philie (I2530)
 
241 Décédée entre le recensement de 1891 (elle habite chez sa fille Esther Gamache mariée à Joseph Letarte) et le recensement de 1901.

http://search.ancestry.ca/browse/view.aspx?dbid=1274&iid=30953_148218-00015&pid=3501148&ssrc=&fn=Emerence&ln=Fortin&st=g 
Fortin, Émérence (I3026)
 
242 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P22361)
 
243 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P37584)
 
244 Décès après 1901. Visible dans le recensement de 1901. Matheau, Napoléon (I2555)
 
245 Décès après le 2 juillet 1853 (mariage de sa fille Olive Lesieur avec Raphael Hebert). Le père Paul Lesieur est dit présent.

Paul Lesieur et Brigitte Duhaime sont dans le recensement de 1852 a St-Barnabé mais dans le recensement de 1861 seul Brigitte Duhaime est présente (chez son fils Jean-Baptiste) et elle est veuve.

Le 4 aout 1857 (mariage de son fils jean-Baptise Lesieur) Paul Lesieur n'est pas mentionné décédé.

Mise à jour (17 DEC 2015): Le testament de Paul Lesieur Désaulniers a été enregistré dans les registres fonciers de la circonscription de Trois-Rivières, le 7 FEB 1861 sous le numéro 11208. Si on ce base sur les testaments enregistrés dans la même période (par exemple 11209), le décès remonterait à juillet ou aout 1860 si on suppose que le délai est semblable. 
Lesieur Désaulniers, Paul (I0174)
 
246 Décès après le 25 sep 1872 (le mariage de son fils Antoine avec Pétronille Bourque) mais avant le 18 oct 1879 (mariage de sa fille Angélina) Martineau St-Onge, Angèle (I0229)
 
247 Décès de Joseph Duplessis:
https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/F7JK-PNT
 
Duplessis, Joseph (I2655)
 
248 Décès de Régina Tessier : Tout sembler se porter pour le mieux. Son dernier examen médical de routine était parfait. Mais peu longtemps après, une bosse apparut à une hanche ou ventre du côté droit. Elle ne semblait pas trop préocupée mais peu longtemps après elle due se rendre à l’hopital où elle décéda rapidement. Selon l’entrepreneur de pompe funèbre, elle (comme son mari) avait perdu beaucoup saignée à l’intérieur et cela lui semblait dire que c’était le cancer.

[référence: Flore Héroux] 
Tessier, Régina (I0023)
 
249 Décès de son fils Clovis:
http://search.ancestry.com/cgi-bin/sse.dll?rank=1&new=1&MSAV=1&msT=1&gss=angs-g&gsfn=Zoe&gsfn_x=XO&gsln=Camire&gsln_x=XO&cpxt=1&catBucket=rstp&uidh=m22&cp=0&pcat=ROOT_CATEGORY&h=351041&recoff=36+37&db=FSNewHampshireDeath&indiv=1 
Boisjoli, Jérémie (I2391)
 
250 Décès: Elle entré à l'hôpital de Ste-Croix à Drummondville, le 1er avril 1971 pour un cancer de la gorge. Elle est transférée au pavillon Georges-Frédéric le 17 mai 1971. Elle fait une crise dans la nuit du 18 juin 1971 et toute la famille est appellée à son chevet. Elle est décédée vers 18h00 le 19 juin 1971.
Ses funérailles ont lieu à l'église de St-Cyrille mais elle est inhumée au cimetière d'Arthabaska. 
Boisjoli, Gilberte (I0009)
 
251 Devient prêtre le 9 août 1863.
Vicaire à St-Léon.
Curé de Kingsey.
En 1875, curé de la Pointe-du-Lac.
En 1898, chapelain des Soeurs de la Providence, Trois-Rivières.

 
Lesieur Désaulniers, François (I3443)
 
252 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P70493)
 
253 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P66738)
 
254 Écrit Tarcille, Louiseville sur sa fiche de baptême

Écrit Tersile sur sa fiche de sépulture (74 ans). 
Désaulniers Lesieur, Tharsile (I0087)
 
255 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (I0005)
 
256 Élisabeth Girard a vendu le lot 1026 le 12 février 1910 à Horace Richard par l'acte enr. no. 43183.

Elle a immigrée au Rhode-Island en avril 1910 chez sa fille Marie-Louise Lavoie (mariée à Néo Therrien).

Au recensement de 1920, elle n'est plus chez sa fille:
https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/MJVF-Z3T

Décès de Marie-Louise Lavoie le 19 aout 1935:
https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/F8CH-6HW 
Girard, Élisabeth (I2888)
 
257 Elle a le prénom de Florence dans le recensement de 1871. Couturier, Laurence (I1197)
 
258 Elle a signé le registre lors du mariage de son frère Charles en 1889.

Elle était présente chez son père lors du recensement le 10 avril 1891.

Elle n'y pas d'indication de sa présence lors du mariage de sa soeur Malvina en juillet 1891 alors que ses frères et soeurs ont signés.

Elle la seule enfant de Onésime Houle a n'avoir pas signer le registre lors de son décès en mai 1892.

Pour le baptême de son premier enfant, le 23 FEB 1890, Charles choisit sa soeur Malvina plutôt que Eugénie comme marraine.

Pour le baptême de son premier enfant, le 17 APR 1892, Malvina choisit sa soeur Exilia plutôt que Eugénie comme marraine.

Elle n'est pas marraine des enfants de ses frères et soeurs.

A vérifier: dans le recensement de 1901, il y a une soeur (Soeur Ste Marie du Séraphin) de la l'academie St-Urbain (congrégation Notre-Dame) à Montréal qui dit être née le 3 janvier 1865.


 
Houle, Eugénie (I1913)
 
259 Elle est à Shirley, Middlesex, Mass. lors du recensement de 1910 aux États-Unis. Mais elle semble décédée à St-Bonaventure. Son retour se situant donc entre avril et aout 2010. Hamel, Nathalie (I0047)
 
260 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P42665)
 
261 Elle est célibataire dans le recensement de 1901 et habite chez son frère Luc (comme sa soeur Delphine). Ducharme, Marie (I1882)
 
262 Elle est célibataire dans le recensement de 1901 et habite chez son frère Luc (comme sa soeur Marie). Ducharme, Delphine (I1836)
 
263 Elle est décédé entre la naissance de son fils Louis Thomas le 22 SEP 1853 et le décès de son époux Antoine Boucher le 9 SEP 1856. Brisset Dupas, Marie Fleur (I4036)
 
264 Elle est décédée après le mariage de son fils Édouard en 1858. Badayac Laplante, Geneviève (I5350)
 
265 Elle est la marraine du fils de sa soeur Adèle, Joseph Beauchesne, le 20 janvier 1862 à Warwick.
 
Houle, Esther (I2385)
 
266 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P98208)
 
267 Elle est visible dans le recensement de 1901:
http://search.ancestry.ca/browse/view.aspx?dbid=8826&iid=z000073210&pid=11665710&ssrc=&fn=Edward&ln=Gouthier&st=g

Elle est aussi visible dans le recensement de 1911. La transcription est mauvaise mais par comparaison des dates des enfants, il s'agit vraiment de la même famille et de Philomène (ligne 36).
http://automatedgenealogy.com/census11/View.jsp?id=88051

 
Tisdel, Philomène (I3635)
 
268 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P10668)
 
269 Elzire Lacerte dans le recensement de 1881 (St-Etienne)
http://search.ancestry.ca/browse/view.aspx?dbid=1577&iid=31229_C_13214-00245&pid=3858186&ssrc=&fn=Elzire&ln=Lacerte&st=g 
Lacerte, Elzire (I3464)
 
270 Émerande sur sa fiche de baptême mais Émérence sur sa fiche de sépulture Lalancette, Émérence (I0081)
 
271 Employeur à Taftville, CT: Ponemah Mills Héroux, Ovide (I0022)
 
272 En 1955, Gérard Boisjoli vendit sa terre mais conserva la maison. Il la déménagea alors sur le terrain voisin de l'ancienne résidence d'Israël Gagné alors occupée par sa fille Bernadette pour en faire un 2 loyers avec facade sur la rue Girouard.
 
Gagné, Israël (I0016)
 
273 En ce qui concerne le mariage de Francois Houde et Pélagie Lefebvre, il est mentionné que l'époux est veuf de Marie Bergeron. Après recherche dans le prdh, il n'y a que 3 mariages avec ces noms mais aucun ne pouvant y correspondre (déjà décédé) en plus d'être hors région.

Aussi, on remarque la signature très caractéristique de Francois Houde lors du mariage de celui-ci avec Rosalie Saucier et Pélagie Lefebvre est identique. Il s'agit donc fort probablement d'une erreur sur le nom de l'épouse précédente dans l'acte de mariage.

Aussi, la recherche des actes notariés ne montrent aucun Francois, époux de Marie Bergeron, dans la région. 
Houde Houle, François Augustin (I0484)
 
274 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. En vie (I0002)
 
275 En mars 1909, il a déménagé aux États-Unis en même temps que sa soeur Régina. Tessier, Dolphis (Adélard) (I1813)
 
276 En septembre 1847, Charlotte Langevin a son fils Urbain à Gentilly mais en septembre 1849, sa fille Reine décède à St-Norbert à 16 ans. Le déménagement a donc eu lieu aux environs de 1848.

En partir de 1872, il a acheté les lots 303 et 304. Si on assume que la résidence en 2013 est sur le même lot, la résidence aurait été sur le lot 304. 
Houle, Onésime (I0038)
 
277 En septembre 1847, Charlotte Langevin a son fils Urbain à Gentilly mais en septembre 1849, sa fille Reine décède à St-Norbert à 16 ans. Le déménagement a donc eu lieu aux environs de 1848. Langevin, Charlotte (I0077)
 
278 Entrée en religion: 25 août 1898
Vêture: 10 août 1899
Première Profession: 21 août 1900
Profession perpétuelle: 15 août 1906
Jubilé d'or: 15 août 1950
Jubilé de diamant: 15 août 1960 
Labonté, Léda (I1110)
 
279 Entrée: 1858-08-11
Profession: 1860-08-19
Voeux perp.: 1866-08-19 
Poirier, Philomène (I2782)
 
280 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P20352)
 
281 Études: Elle termine sa 7e année en juin 1925. Boisjoli, Gilberte (I0009)
 
282 Études: il a étudié à l'école de Princeville et il a terminé sa 7e année. Gagné, Hilaire (I0008)
 
283 Explications sur les lots 247, 248, 321 et 322:

Lots 321 et 322:

Les lots 321 et 322 ont été achetés en 1890. Par contre, il n'y a aucun mention de ces lots dans le testament de 1891 et dans l'inscription de l'avis de décès de 1903. Pourtant, Albert Lamothe, son fils, demeure sur le lot 321 lors du recensement de 1901 (schedule B) et celui-ci vend ce lot en 1915. De plus, l'enr. XXXX sur le le lot 323 mentionne Siméon Lamothe comme voisin en 1894. Il manque une preuve de succession de Siméon Lamothe à ses enfants.

Lots 247 et 248:

Malgré de nombreuses recherches autant dans l'index aux noms, l'index aux immeubles et les répertoires de notaires, il ne semble pas y avoir d'acte d'achats de ces lots par Siméon Lamothe. Par contre, ces lots sont mentionnés dans le testament de 1891 et font partie de la succession enregistrée en 1903 au registre foncier. Au minimum, Siméon Lamothe aurait du être propriétaire en entier de ces lots pour les années 1891 à 1903. Pendant ces années, on constate de nombreuses transactions sur les lots pour lequel le vendeur ou l'acheteur était le propriétaire de ces 60 arpents (chaque lot). De plus, du lot 246 au lot 249, les voisins mentionnés lors ces transactions concordent parfaitement mais Siméon Lamothe est toujours absent.

Toujours au sujet de ces lots, on remarque aussi que malgré la succession de Siméon Lamothe à ses enfants, il n'y aucune inscription (obligation, vente, etc) par Albert ou Omer Lamothe pour le reste du registre.

Conclusion

Il y a selon tout vraisemblance, une erreur dans les numéros de lots. Lors de la rédaction du testament en 1891, il y a probablement eu erreur sur les numéros de lots du cadastre. Ceux auraient du se lire 321 et 322 au lieu de 247 et 248. De plus, lors de l'éxécution du testament en 1903, l'erreur fut propagée dans le registre foncier. Si on applique cette correction, toutes les observations et autres actes concordent parfaitement. 
Lamothe, Siméon (I0048)
 
284 Extrait du livre "Notes historiques sur la paroisse de Saint-Guillaume d'Upton avec la généalogie des familles De Serre, Vanasse, Melançon, Dupuis, Desaulniers, Lessard, Houde, Adam, Blais, Gélinas, Lamoureux et Touzin":

Peu d'années après arrivèrent successivement, à Saint-Bonaventure, les colons suivants: Charles et Édouard Tessier, Louis Gaucher, Bruno Paulhus, William Danis, Théophile et Moïse Lemaire. Le père Olivier Labonté, marié à Marguerite Lalancette avait acheté un lot, avant les frères Tessier; mais, il ne commença pas à faire des défrichements de suite. Il venait de la paroisse d'Yamaska. 
Couturier Labonté, Olivier (I0080)
 
285 Extrait du livre "Souvenirs d'un octogénaire (par Alfref Désilets; publié en 1922):


L'Ile Désilets qui se trouve à Tembouchure de la rivière Godefroy a toujours appartenu à la famille. Il y avait, avant 1775, sur cette île, un chantier maritime. Les anciens disent y avoir vu un trois-mats en construction et il est probable qu'il en a été construit d'autres. Lorsque j'étais jeune, il existait encore des traces de ce chantier. Au temps des labours, la grande quantité de copeaux de chêne trouvés dans le sol retardait le travail. Ce chantier se trouvait sur la pointe sud de l'île qui a trente arpents de superficie.

On voit par les "Edits et Ordonnances" que le roi s'était réservé les bois de chêne qui croissaient sur la rive est de la rivière Godefroy, pour la construction de ses vaisseaux.
Il y en avait en abondance et de très belle qualité. En ces dernières années, on en a vendu des quantités considérables.

L'existence de ce chantier tenu par la famille Cormier dit Rossignol s'explique par le fait qu'à proximité — cinquante arpents — il y avait une belle forêt de pins, épinettes et pruche dont les produits pouvaient être mis en flottaison sur le lac Saint-Paul, qui était à vingt arpents de cette forêt et amenés au chantier des navires sur un parcours de moins de deux milles.

Cette forêt était si belle que les cultivateurs du premier rang de Saint-Grégoire en ont épargné des parcelles pour leurs constructions et leur chauffage. 
Desrosiers Désilets, Louis (I0392)
 
286 Extrait du livre "Souvenirs d'un octogénaire (par Alfref Désilets; publié en 1922):

D'après le témoignage de personnes vivant, il y a à peine cinquante ans, les forêts du lac Saint-Paul et le presbytère de Saint-Grégoire furent le théâtre de faits extraordinaires.
Un vieillard, presque nonagénaire, racontait que, se rendant de nuit à son établissement de Saint-Grégoire, par un chemin de pied, en traversant la rivière Godefroy, au Petit-Saut, il s'éleva autour de lui, une clameur effrayante formée des cris de toute espèce d'animaux sauvages s'entre-dévorant et se rapprochant de son sentier, avec grand bruit de branches cassées et d'obstacles renversés. Il voulut fuir, mais étant à cheval, il ne put avancer que très lentement, à cause de l'obscurité et de mille obstructions qui étaient semées sur la voie. Toutefois, il parvint à l'orée du bois sain et sauf, sans autre inconvénient que d'avoir des habits trempés par les sueurs qu'il avait répandues.
Plusieurs années après, la paroisse fut érigée canoniquement, et on construisit le presbytère et l'église.

Il y eut une grande querelle entre les habitants, au sujet du presbytère, que les uns voulaient construire en bois, et les autres, en pierre.
Ceux qui opinèrent pour la pierre furent en majorité. L'édifice fut bientôt en état d'y recevoir le curé.

A peine, ce dernier y était-il installé, que le grenier de cette habitation fut, pendant la nuit, rempli de bruits étranges, semblant ceux d'une grande forge où l'on battait le fer, renvei-sant les enclumes par terre, entassant des masses de chaînes qui s'entre-choquaient, retombaient sur le plancher qu'elles ébi'anlaient avec toute la maison. Il y avait des grincements de scie, des piétinements et les bousculements de combattants aux prises; des déchirements d'habits, des plaintes étouffées, enfin tous les indices d'un massacre. Cependant, on montait au grenier et la pièce était vide et tout était dans un calme plat.

Les voisins furent appelés, entendirent tout ce vacarme, sans trouver ni morts ni blessés ni quoique ce soit d'anormal. Ces scènes se répétèrent longtemps, allèrent en s'amortissant et finirent par disparaître.

Quant aux sorciers, la paroisse n'en manquait pas; mais il en est un qui mérite d'être noté. Ses gestes ont beaucoup de ressemblance avec ceux cités par Desmousseaux, dans son traité des "Hauts phënomènes de la Magie".

Ces faits ont été le sujet d'une enquête judiciaire et d'un jugement de la Cour.

L'événement a eu lieu chez le père Lamothe.

Un matin, un quêteux, pour l'appeler de son nom, entra chez lui et demanda la charité, pour l'amour de Dieu.

— Vous me paraissez en état de gagner votre vie, en travaillant, lui dit Lamothe, je n'ai rien à vous donner.
— Soit, dit le quêteux, aussi, je souhaite que le bon Dieu vous bénisse comme vous le méritez.

Il sortit en jetant, un regard de colère, sur le père Lamothe.

Celui-ci, une heure plus tard, étant allé à sa porcherie, porter de la nourriture à trois pourceaux, il les trouva droits comme des cierges, la tête en bas et tournant, sur leur groin, comme sur un essieu.

A quelques milles de chez Lamothe, il y avait un homme qui possédait le "Petit Albert", un livre contenant toutes les formules employées pour ôter les sorts. Lamothe s'y rendit et le ramena chez lui, pour qu'il fût témoin des faits étranges qui s'y passaient. Du reste, il paraît que l'intervention de ce personnage ne pouvait avoir d'efficacité, en cette affaire, que sur le lieu de la scène.

Les mêmes faits s'étant répétés, devant ce nouveau témoin, dont le nom était Richer — si ma mémoire est fidèle — Celui-ci dit: "Il faut premièrement que je fasse revenir le quêteux, s'il est l'auteur de ces faits, et après cela, nous verrons."

L'attente fut bien de cinq heures. Le soleil venait à peine de se coucher que le quêteux tout couvert de sueurs et la figure bouleversée, comme un homme en proie à de grandes souffrances, arriva chez Lamothe. "Je t'attendais, dit Richer, d'une voix de commandement. Il faut que tu rendes les animaux de Lamothe à leur état premier, autrement, ce sera partie entre nous."

— C'est fait, dit le mendiant.

En effet, les porcs se mirent à manger leur nourriture.

— Ne recommence jamais de pareilles choses, dans mon territoire, ajouta Richer.

Au même instant, le quêteux disparut et l'on n'eut plus jamais de ses nouvelles.

Les philosophes de notre temps ridiculisent ces histoires et prétendent que c'est rapetisser nos pères que de dire qu'ils y mettaient créance. Si sous la loi mosaïque et la loi chrétienne, il n'y avait jamais eu de manifestations diaboliques, ces philosophes auraient un point d'appui. Mais l'histoire des Juifs, des Egyptiens, des Romains, des Francs et de tous les peuples catholiques en rapportent de semblables. Ainsi, notre réputation n'est pas en cause.

Aux démêlés occasionnés par la construction du presbytère de Saint-Grégoire, s'ajoutent les circonstances suivantes qui en furent le pendant.

Il s'agissait de faire l'intérieur de l'église et cette tâche incombait à la Fabrique. Le corps de Fabrique était composé, comme partout ailleurs, de trois marguilliers et du curé. Or, il arriva que le curé et un marguillier furent d'opinion d'achever le travail, tandis que les deux autres marguilliers s'y opposaient. La partie se serait prolongée indéfiniment si l'évêque de Québec ne fut intervenu. Il nomma un marguillier additionnel. Ce qui eut pour effet de terminer le différend et d'une manière fort heureuse.

Les Récollets de Montréal ayant reçu avis du gouvernement que ce dernier s'emparait de leurs biens et, en particulier, de leur église, coin des rues des Récollets et Notre-Dame, bâtie en 1686.

Ces religieux offrirent d'en vendre l'ornementation intérieure, comprenant autels, chandeliers, stalles, colonnes, chapiteaux, plinthes, couronnements, corniches tableaux et autres, à des conditions extrêmement avantageuses, ce qui fut accepté.

L'intérieur de cette église était l'un des plus beaux et des plus artistiques de la Province et il fait encore l'orgueil des habitants de la paroisse. Des étrangers viennent de loin pour l'admirer, parce que c'est à peine, s'il en existe encore quelques-uns au pays.
 
Lamothe, Jean-Baptiste (I0096)
 
287 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P23421)
 
288 Extrait du livre "Souvenirs d'un octogénaire (par Alfref Désilets; publié en 1922):

Jean-Baptiste et Antoine nous racontaient qu'ils avaient été témoins de l'engagement qui eut lieu, sur les coteaux des Trois-Rivières, entre un détachement des armées américaines, venu par la rivière Richelieu et allant rejoindre les troupes de Montgomery assiégeant Québec, et la garnison anglaise défendant la ville des Trois-Rivières, en 1777. Ils ont VU la fumée de la bataille et peut-être les éclairs des bayonnettes luisant au soleil. Leur demeure était sur la rive sud du fleuve, vis-à-vis le moulin à vent, à une distance de deux milles du lieu du combat.

Pour mieux voir, ils étaient montés, dans un grand noyer, près de la maison. Leur mère ayant remarqué que des branches d'arbre coupées par des projectiles tombaient par terre, les fit descendre de leur lieu d'observation et leur dit de se coucher sur le plancher dans la maison.

Dans la rivière Godefroy, qui se décharge dans le fleuve, au nord de leur demeure, il y a une île qui porte le nom d'île aux Balles, à une vingtaine d'arpents du fleuve, sur laquelle on a remarqué, au lendemain de la bataille, que les arbres étaient déchiquetés par des projectiles. C'est l'ancienne île Marie. 
Desrosiers Désilets, Louis (I0392)
 
289 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P207547)
 
290 Extrait du livre "Souvenirs d'un octogénaire (par Alfref Désilets; publié en 1922):

La paroisse de Saint-Grégoire a eu ses célébrités et de ces incidents qui tranchent, sur la vie commune, avec plus ou moins de relief. J'en noterai quelques-uns.

Frédéric Thibeault y a acquis une certaine renommée par la force physique dont il était doué.

Il était voisin de J.-Bte Lamothe, forgeron et maréchal-ferrant.

Lorsque ce dernier avait à ferrer des chevaux trop violents, il recourait à son voisin, qui ne lui refusait pas son assistance. Thibeault, faisait attacher solidement le cheval, empoignait ses pattes de derrière, le soulevait de terre, à la hauteur voulue, et les tenait fermement tout le temps que Lamothe procédait à accomplir son difficile travail.

Ce fait était connu dans toute la paroisse. 
Lamothe, Jean-Baptiste (I0096)
 
291 Extrait du livre "Souvenirs d'un octogénaire (par Alfref Désilets; publié en 1922):

La première boutique de forge, à Saint Grégoire, fut celle de J.-B. Lamothe, près du lac Saint-Paul. Ce forgeron fabriquait également les outils les plus usités et possédait l'art difficile de les tremper. Il avait aussi beaucoup d'habileté pour faire des croix d'église ornementées comme celles de la première église de Saint-Grégoire, qui existe encore, et plusieurs autres de la région du Richelieu et de Montréal.

Le charbon de forge était rare alors. Lamothe le fabriquait lui-même. Il amassait de grandes quantités de pièces de bois qu'il pilait ensemble, de manière à faire une masse ayant la forme d'une tour de plusieurs pieds de hauteur. Il y ménageait des interstices, pour faire circuler des courants d'air, recouvrait le tout d'une épaisse couche de terre et y mettait le feu. Après plusieurs jours, le bois était converti en charbon.

Lamothe tenait aussi un chantier pour la construction des bateaux, dits "bateaux du roi", de soixante à quatre-vingt pieds de longueur, il leur donnait une forme si élégante, que les habitants des Trois-Rivières les préféraient à ceux de leurs charpentiers. Son frère, Joseph, ouvrit un second chantier dans le voisinage, et il eut le même succès. Il y ajouta une fabrique de charrues qui eut beaucoup de vogue. Autrefois, la charrue était munie d'une roue à l'avant, que Lamothe fit disparaître, pour la remplacer par un pied servant à régler l'épaisseur du labour. Il avait allongé ce que l'on appelle l'oreille de la charrue, en lui donnant une forme plus dégagée qui avait pour effet de diminuer la force de traction requise par les anciennes charrues.
 
Lamothe, Jean-Baptiste (I0096)
 
292 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P23352)
 
293 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P207547)
 
294 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P207547)
 
295 Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. Confidentiel (P23349)
 
296 Extrait du livre "Souvenirs d'un octogénaire (par Alfref Désilets; publié en 1922):

Un nommé Lamothe s'établit tout près du lac Saint-Paul. 
Lamothe, Jean-Baptiste (I0096)
 
297 Extrait du livre anniversaire de Saint-Étienne: "On nous rapporte que madame Narcisse Blais, mère d'Antonio Blais, était une marcheuse hors pair. Elle parcourait de grandes distances l'hiver en raquettes, l'été à pieds. Devenue veuve, avec son petit-fils, Henri-Paul, elle visitait ses amis en traîneau à chiens. Elle se rendait régulièrement au village de Saint-Boniface en passant par le champs."

 
Robert, Louisiana (I0061)
 
298 Extrait du livre Ste-Geneviève de Bastican (1833-1893):

Boutiques de forge

En 1881, François Xavier Baribeau possédait une boutique de forge sur le terrain occupé actuellement par Auguste Massicotte. Le dernier à avoir exploité une forge à cet endroit fut Ernest alias Rosaire Brouillette qui vendit sa boutique en 1953. 
Baribeau, François-Xavier (I0054)
 
299 Fait intéressant. Le 9 novembre 1911 à St-Bonaventure, Odile qui était la servante du curé était aussi la marraine du baptême de sa petite fille Françoise. Or, il se trouve que le curé Philippe Bourassa fut immédiatement transféré à Saint-Paul-de-Chester. Cet acte de baptême pour le curé Bourassa fut donc le dernier avant que lui et Odile partent pour Saint-Paul-de-Chester. Bourassa, Odile (I0043)
 
300 FAITS:

Acte de mariage: https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/FDLQ-J93

RECENCEMENTS:

Il est absent des recensements de 1870 (US), 1871 (CAN) et 1881 alors que le reste de la famille est visible.

Il est visible dans le recensement de 1910 et 1920 au New Hampshire:
https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/MLZ8-XM1

https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/MH8X-MJB

Passage vers les États-Unis en sept 1923 à St-Albans:

http://search.ancestry.ca/browse/view.aspx?dbid=1075&iid=m1464_480-1185&pid=1272022&ssrc=&fn=Eugene&ln=Hamel&st=g

ANALYSE:

Selon le recensements de 1910, il serait né entre le 15 avril 1862 et 15 avril 1863.

Selon le recensement de 1920, il serait né entre le 1er janvier 1862 et le 1er 1863.

Selon le passage frontalier en septembre 1923, il a 61 ans. Il serait donc né entre septembre 1861 et septembre 1862.

Dans tous les actes, il est mentionné né au Canada.

J'ai fait de longues recherches pour trouver l'acte de naissance autant dans les paroisses de St-Francois que de St-Guillaume et même aux États-Unis. Il est peu probable qu'il soit né aux États-Unis puisque dans tous les actes et recensements, il est mentionné né au Canada.

Mais le plus troublant c'est qu'il né visible dans aucun recensement avec ses parents, soit ceux de 1870 (US), 1871 et 1881. Si sa naissance se situe aux environs de 1863, il est possible d'expliquer son absence du recensement de 1881 puisqu'il serait assez agé pour quitter ses parents. Mais il aurait du être visible dans les recensements de 1870 et 1871. En 1881, il est possible qu'il ait quitté ses parents. Par contre, en 1870 et 1871, cela est très difficile à expliquer.

En admettant, bien que peu probable, qu'il y a une erreur importante sur l'âge et qu'il soit né a peu près en même temps que sa femme soit aux environs de 1877, il aurait été absent des recensements de 1870 et 1871 mais il aurait été assurément dans le recensement de 1881.

De plus, je n'ai trouvé aucun acte de marriage ou sépulture pour Michel Hamel. Michel Hamel est présent dans les recensements de 1870 et 1871 mais plus rien par la suite.

Si assume que toutes les informations d'âge d'Eugène Hamel sont rigoureusement exactes, sa naissance se situerait entre le 15 avril 1862 et septembre 1862. La naissance de Michel Hamel est le 5 mai 1862.

J'en arrive à la conclusion, sans pouvoir confirmer hors de tout doute, qu'il y a une certaine probabilité que Michel et Eugène Hamel soit la même personne.

MISE A JOUR
22 juillet 2015: Selon un descendant de Pierre Hamel, son frère, l'acte de naissance de Michel Hamel correspondrait bien à l'acte de mariage d'Eugène Hamel. Aussi, Michel Eugène Hamel serait décédé le 12 NOV 1933.
 
Hamel, Michel Eugène (I2372)
 

      1 2 3 4 5 ... 14» Suivant»